Le Numéro 56 de la Revue de l’histoire adopte nouveau format carré 210×210 afin de mieux valoriser son iconographie, tout en gardant sa personnalité de revue que l’on conserve dans sa bibliothèque en référence.
25 février 2010
Le Numéro 56 de la Revue de l’histoire adopte nouveau format carré 210×210 afin de mieux valoriser son iconographie, tout en gardant sa personnalité de revue que l’on conserve dans sa bibliothèque en référence.
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22 février 2010
Arnaud Delerce, historien et responsable scientifique du Domaine de découverte de la vallée d’Aulps (Haute Savoie), me fait découvrir les aménagements réalisés pour valoriser l’abbaye cistercienne Sainte-Marie d’Aulps :
Voir aussi en Vidéo : Visites nocturnes à l’Abbaye d’Aulp (Le Chablais)
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17 février 2010
La célèbre abbaye bénédictine de la sarthe qui a notamment restauré le chant grégorien célèbre cette année le millième anniversaire de sa fondation par les moines de la Couture, antique monastère manceau, par une charte qu'on date, par conjecture, du 12 octobre 1010... (En savoir plus)
Cet anniversaire sera commémoré à plusieurs occasions :
- 27 et 28 mai 2010 à Solesmes : colloque sur l'histoire de Solesmes et plus largement sur l'histoire du monachisme bénédictin.
- 29 mai 2010 : Journée anniversaire au Mans, messe à la Cathédrale et Vêpres à La Couture (L'église de la Couture est l'ancienne abbatiale dont dépendait jadis le prieuré de Solesmes)
- 13 juin 2010 : Journée monastique à Cluny pour le 11e centenaire de la fondation de l'Abbaye.
- 9 et 10 septembre 2010 à Solesmes : colloque sur le chant médiéval et le chant grégorien.
- 12 octobre 2010 : Messe solennelle d'action de grâces à Solesmes.
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16 février 2010
Fêtes et célébrations à l'époque romane.
Issoire (Puy-de-Dôme) les vendredi 15 et samedi 16 octobre 2010.
Après Peintures murales romanes, Europe romane-Europe d'aujourd'hui, Pèlerinage et art roman, Villes et campagnes à l'époque romane, L'Invention de l'art roman au XIX° siècle, La Vierge à l'époque romane : culte et représentations, Sanctuaires et chevets à l'époque romane, Chapiteau roman, Vitrail roman, L'Habitat à l'époque romane, L'Antiquité dans l'art roman, L'Apocalypse à l'époque romane, L'Image de la Femme à l'époque romane, L'Ornement à l'époque romane, La Lumière à l'époque romane, La Couleur dans l'architecture à l'époque romane, La Couleur dans les arts précieux à l'époque romane, L'Eau à l'époque romane, Nourritures célestes, nourritures d'ici-bas à l'époque romane, cette prochaine session marquera le 20° anniversaire des colloques d’Issoire.
Depuis vingt années, la tribune de ces colloques a vu se succéder de nombreux chercheurs français et étrangers comme Xavier Barral i Altet, Jean-Claude Bonne, Manuel Castineiras, Christian Davy, Alain Erlande-Brandenburg, Yves Esquieu, Pierre Garrigou-Granchamp, Andreas Hartmann-Virnich, Miljenko Jurkovic, Jacek Kowalski, Victor Lassalle, Jacqueline Leclercq-Marx, Jean-Michel Leniaud, Anne Prache, Nicolas Reveyron, Daniel Russo, Alain Salamagne, Éliane Vergnolle, Pierre Vaisse, Giovanna Valenzano et bien d’autres encore.... Le colloque est placé sous le patronage de la Société Française d'Archéologie depuis 2006.
Les Actes des colloques font l'objet de publications régulières dans la Revue d'Auvergne, organe de l'Alliance Universitaire d'Auvergne, diffusant les recherches menées dans le cadre des deux universités de Clermont-Ferrand.
Comme à l'accoutumée, les communications pourront aborder le sujet de la manière la plus variée :
Toutes les sortes de sources documentaires ou artistiques pourront être utilisées : sources d’archives, textes littéraires profanes ou religieux, œuvres d’art et iconographie, musique, archéologie.
Le voyage, les repas et le logement des communicants sont pris en charge par Terres Romanes d'Auvergne. La publication des Actes est assurée par l'Alliance Universitaire d’Auvergne. Une excursion le dimanche 17 octobre vous sera également offerte.
Nous sommes naturellement à votre disposition pour tout complément d'information.
Si vous êtes intéressé(e) par cette proposition, nous vous prions de bien vouloir nous retourner le bulletin ci-dessous avant le 15 mai 2010 soit par mail à annie.regond@wanadoo.fr ou à PASSAMAKODY@aol.com (en précisant en objet colloque Issoire 2010), soit par courrier à adresser à ARCHICLASSIQUE, 7, rue de la Vigerie F - 03500 SAINT-POURÇAIN/SIOULE.
Bulletin réponse à retourner avant le 15 mai 2010.
Contact
Depuis la fin des années 1990, des apprentis et des compagnons tailleurs de pierre des écoles européennes se rencontrent et concourent dans l’art de la stéréotomie et de la sculpture sur pierre dans un pays de l’Union Européenne.
Après Fribourg-en-Brisgau, Canterbury, Fertorákos, Junas, Salzbourg, le Festival 2010 rejoindra le merveilleux château des Rohan à Saverne, en Alsace, dans le pays du grès des Vosges.
>>> Le programme du festival et le bulletin d'inscription au concours sont téléchargeables en fin d'article.
Suite:
Très engagés, les institutions, les organes politiques et les professionnels alsaciens des Métiers de la pierre affirment que dans la période difficile que nous vivons actuellement, il est important d’encourager la filière de la pierre, de répondre aux besoins des entreprises et de développer des formations innovantes.
Avec tous ces partenaires, les organisateurs du Festival Européen de la Pierre souhaitent par cette manifestation exclusive en France participer à la fois à l’effort d’information des architectes et du grand public et par cette occurrence les faire rencontrer des professionnels de la pierre qui n’ont que très peu d’occasions de se côtoyer.
Les 28, 29 et 30 mais 2010, 150 à 200 festivaliers de la pierre sont donc attendus à Saverne, de toutes les régions de la France et des écoles des pays de l’Europe. Ils rentreront en compétition sur leur savoir-faire et pour des échanges professionnels transfrontaliers fructueux. Amis de la pierre, tous unis par la recherche du beau, de ce beau qui transmet leur âme et leur esprit à travers leur regard et leurs mains, à la matière à laquelle ils donneront vie.
Cette année, les thèmes du Festival sont : l’Art Roman en Europe et la symbolique de la Licorne (elle figure sur le blason de Saverne).
A l’issue du concours, les œuvres réalisées seront vendues aux enchères.
Les recettes de cette vente couvriront les dépenses prévues au budget du festival et d’autre part financeront des chantiers culturels que l’association « European Association of Stone Masons and Sculptors » (EASMS), Association européenne de tailleurs de pierre et sculpteurs, gestionnaire du festival, mettra en place après cette manifestation.
Quels sont les partenaires publics ou privés ?
Sous l’égide de la Ville de Saverne : les professionnels de la pierre, la Région Alsace, le Conseil Général du Bas-Rhin, les écoles européennes de la pierre, des fondations culturelles internationales, les offices de tourisme alsaciens, la Fondation de l’Œuvre Notre-Dame de Strasbourg…
Contact et adresse du gestionnaire du festival :
« European Association of Stone Masons and Sculptors » (EASMS)
(Association européenne de tailleurs de pierre et sculpteurs
3, rue des Bouchers
F. 67490 Dettwiller (France)
Président : Norbert Stoffel
Tél. 00 33 (0) 6 72 36 59 56
Fax. 00 33 (0)3 88 91 11 50
E-mail : norbert.stoffel@wanadoo.fr
Vous pouvez télécharger le bulletin d'inscription en cliquant ici.
Vous pouvez télécharger le programme du festival en cliquant ici.
Vous pouvez télécharger l'historique du festival en cliquant ici.
Il est à noter que Jean-Michel Mathonière et le Centre d'étude des compagnonnages sont associés à cet évènement exceptionnel au travers la réalisation d'une nouvelle édition de l'exposition sur la stéréotomie et la tradition des Compagnons tailleurs de pierre. Elle durera du 29 avril au 6 juin. Vous trouverez prochainement sur le blog davantage d'informations à cet égard.
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09 février 2010
Atelier organisé par Patrimoine-Environnement (fnassem) en partenariat avec la délégation Bretagne de cette fédération, la Fondation du Patrimoine, l'association Sauvegarde du Patrimoine Religieux En Vie (SPREV), la Sauvegarde de l'Art Français et l'Observatoire du Patrimoine Religieux.
L'Atelier s'est déroulé dans le cadre prestigieux de l'Abbaye de Beauport à Paimpol (22), l'un des plus importants ensembles d'architecture religieuse conservés en Bretagne, classé Monument Historique en 1862. Le Conservatoire de l'espace littoral a acquis le site en 1993 et assure depuis la préservation de son environnement littoral (roselière, ancien havre, digues et massif forestier) et la restauration du monument.
Plus de 70 personnes sont venues pour certaines de loin (les Vosges !) pour participer à cette journée. Principalement des membres d'associations de sauvegarde du patrimoine mais aussi des élus ou représentants de collectivités territoriales, des architectes du patrimoine, des paysagistes...
La journée a débuté par une intervention du Bâtonnier Alain de La Bretesche, animateur des échanges, portant sur les aspects juridiques :
Ont suivi des questions parfois très pointues et précises sur : la responsabilité de l'affectataire en cas d'incendie, l'entretien d'un édifice désaffecté, le gardiennage et l'ouverture d'une église au public, les arrêtés de mis en péril, l'obtention de subventions pour un édifice désaffecté, le transfert d'une église à une communauté de communes, le rôle de la commission de sécurité municipale, le statut des sépultures entourant une chapelle privé, le statut des orgues, etc.
Béatrice de Andia, présidente de l'Observatoire du Patrimoine Religieux (OPR), a ensuite dressé un état des lieux des édifices religieux en France d'après les statistiques recueillies par cet organisme. Face à une situation préoccupante, l'OPR a lancé :
La matinée s'est poursuivie par une table ronde présentant, au travers du cas concret de la restauration de la chapelle Saint-Jérôme de la Salle en Lanmérin (22), le rôle que peut avoir une association locale et ses relations avec la commune, la paroisse et, si l'édifice est protégé, avec le Service Départemental de l'Architecture et du Patrimoine (SDAP).
"La réussite d'un tel projet résulte d'un travail en équipe, coordonné et solidaire" a expliqué Mme Thérèse Morin, présidente de l'association pour le sentier de petit randonnée de Lanmérin. Dans le cas de Lanmérin, l'action de l'association a été fondamentale : elle a aidé à l'établissement des budgets, à la définition des missions de chaque acteur, à la médiatisation, etc.
Puis les questions du financement des travaux de restauration ont été abordées par Benjamin Mermet, responsable national des souscription à la Fondation du Patrimoine, et Olivier de Rohan-Chabot, président de la Sauvegarde de l'Art Français : où trouver de l'argent pour restaurer et entretenir une église ou une chapelle ? De quels outils disposent les associations ?
La Fondation du Patrimoine dispose de 4 principaux moyens d'action : le label pour les propriétaires privés et, pour les propriétaires publics, la mobilisation de mécénat populaire de proximité (souscription), la subvention ou le mécénat d'entreprise.
Dans le cas de la chapelle de Lanmérin, la commune ne pouvant assumer seul le financement des travaux, a lancé une souscription publique avec le soutien de la Fondation du Patrimoine. Depuis 2002, la Fondation du Patrimoine a lancé 68 souscriptions en Bretagne, 50 l'ont été en faveur du patrimoine religieux (73%).
La Sauvegarde de l'Art Français intervient quand à elle sur des églises rurales et des chapelles antérieures à 1800 non classées (mais de préférence inscrites à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques). Ces 10 dernières années, l'association s'est intéressée à 90 édifices bretons auxquelles elle a apporté une aide totale de 290.000 €. A Paimpol, elle est intervenue par exemple dans la restauration de la chapelle de Kergrist (en 1991, montant du don 7.622 €), dans celle de la chapelle de Lanvignec (en 1989, montant du don 1.525 €), et dans celle de la chapelle Sainte-Barbe (en 1985, montant du don 6.403 €).
Après le déjeuner, Stéphane Aubertin, architecte des bâtiments de France au Service Départemental de l'Architecture et du Patrimoine (SDAP 22) et Max Grammare, architecte conseiller au Conseil d'Architecture, d'Urbanisme et d'Environnement (CAUE 22), sont intervenus pour présenter les différentes aides techniques pouvant être apportées aux associations ou aux communes pour des travaux de restauration, en distinguant le cas des édifices protégés (inscrits ou classés au titre des Monuments Historiques) de ceux non protégés.
Les deux organismes réalisent des études et interviennent sur le terrain sur des cas concrets. Plusieurs exemples dans les Côtes-d'Armor ont été présentés.
La journée s'est clôturée par deux interventions portant sur les activités culturelles dans les édifices religieux. Un sujet qui fait souvent débat.
Le Père Gusti Hervé, représentant de la SPREV et membre de la commission d'art sacré du diocèse de Quimper, a rappelé qu'une église était un lieu ouvert, ouvert aux croyants et mais aussi aux touristes et aux personnes qui veulent retrouver l'identité culturelle attachée à l'édifice. Soucieuse d'attirer l'attention des visiteurs et des fidèles sur les aspects culturels, la SPREV organise chaque année en été un service d'accueil et de visites commentées dans une trentaine d'églises de la Région. Une action utile et exemplaire pour résoudre les conflits d'intérêt avec les associations culturelles.
Enfin, pour terminer cette riche journée d'échanges, Bernard Delhaye a présenté la manifestation organisée par l'association « L'art dans le Chapelle » dont il est président. Chaque année durant les mois de juillet et août, une vingtaine d'églises du pays de Pontivy accueille des expositions d'art contemporain. chaque artiste qui participe à l'opération travaille sur un site religieux et réalise son œuvre pour ce site, en préservant l'espace sacré du chœur de l'église. L'association travaille de concert avec les propriétaires des édifices religieux et avec les représentants de l'Eglise. Des exemples d'œuvres d'art contemporain ont été présentées à la salle au travers d'un diaporama qui a suscité un grand intérêt.
L'association prépare un colloque pour 2011 sur les églises et la notion "d'espace partagé".
La fédération Patrimoine-Environnement remercie chaleureusement les responsables de l'Abbaye de Beauport pour leur accueil, ainsi que les nombreux intervenants qui ont largement contribué à la réussite de cette journée.
L'atelier s'est achevé par un concert a capella par l'ensemble vocal féminin Guy Ropart dirigé par Jacqueline Cherpitel et s'est prolongé le lendemain, samedi 23 janvier, par une série de visites :
- à Tréguier, visite du Centre Saint-Augustin puis de la cathédrale, du cloître et du trésor, par les responsables de ces sites emblématiques
- à Plouézec, visite de la chapelle du Petit-Saint-Loup en présence des membres du conseil municipal
- à Lanloup, visite de l'église (souscription de la Fondation du Patrimoine pour la sauvegarde et la mise en valeur de l'église) en présence du maire, de son adjoint et du président de l'association des amis de Lanloup
- à Plouha, visite de la chapelle de Kermaria An Iskuit (souscription de la Fondation du Patrimoine pour la sauvegarde et la restauration des fresques de la danse macabre) en présence du recteur, du maire et des membres de l'association locale
- à Pommerit-le-Vicomte, visite de la chapelle du Paradis et présentation du rôle moteur de l'association locale dans la sauvegarde et la mise en valeur de la chapelle en présence du maire.
Fort de ce nouveau succès, cet Atelier sera reproduit à Nice en fin d'année, et peut être en Alsace, en Rhône-Alpes... Si vous êtes intéressés, merci de nous le faire savoir par mail à Anne Le Clésiau
A télécharger :
Liens :
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05 février 2010
02 février 2010
Conférence: En état de détérioration avancée, les fresques des églises médiévales qui font partie du patrimoine historique et artistique du Liban sont menacées de disparition. Par manque de moyens financiers, mais aussi d'équipes spécialisées, sur les vingt édifices répertoriés, trois seulement ont été restaurés et deux autres sont en cours de restauration. Ils dévoilent leurs trésors.
Salle comble au musée de l'Université américaine de Beyrouth où Ray Jabre Mouawad a donné une conférence sur les découvertes récentes des fresques médiévales au Liban. Présidente de l'Association pour la restauration et l'étude des fresques médiévales du Liban (Arefml), professeur d'histoire à la Lebanese American University (LAU) de Beyrouth, membre fondateur du centre Louis Pouzet d'études médiévales à l'Université Saint-Joseph, auteur de plusieurs ouvrages et éditrice de nombreux colloques sur le patrimoine syriaque, la conférencière a signalé la présence au Liban-Nord d'une vingtaine d'églises à fresques médiévales, dont dix de rite maronite et dix de rite grec-orthodoxe. Ces édifices, dont trois ont été restaurés et deux autres actuellement en cours de restauration, sont localisés pour l'essentiel dans les cazas de Jbeil, Batroun, Koura et la vallée de Qadisha.
Donnant un aperçu des différents styles architecturaux qui s'y sont développés, la conférencière signale en substance que les églises ayant survécu à la conquête arabe du VIIe siècle se distinguent par leur dimension réduite et leur structure trapue. En forme de cube, carré ou rectangulaire, elles ne présentent souvent aucun signe distinctif d'un lieu de culte. Certaines d'entre elles sont construites à l'emplacement des temples païens ou avec de gros blocs de pierre, vestiges de ces temples. Leur porte est surmontée d'un linteau gravé d'inscriptions grecques et leurs murs, à l'instar de ceux de l'église de Blat, sont massifs. Les voûtes et les colonnes épaisses soutiennent un toit plat. Certaines églises avaient une abside saillante vers l'extérieur et d'autres, comme celle dédiée à saint Théodore, à Bahdidat, dans la région de Jbeil, avaient un porche servant « peut-être » à abriter les catéchumènes qui n'avaient pas le droit d'assister à tout l'office eucharistique. Avant l'arrivée des croisés, ces églises n'étaient pas dotées de clocher, mais d'un « nakous », « un bout de fer ou un bout de bois qu'on frappait pour appeler à la prière ». L'église Mar Challita, à Douma, et celle de Hamatoura, dans la Qadisha, conservent encore leur « nakous ».
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