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l'Observatoire du Patrimoine Religieux sera officiellement créé le 5 mars à Paris

L’Observatoire du Patrimoine Religieux tiendra sa première assemblée générale le 5 mars prochain à 18h00, à la mairie du 7ème arrondissement de Paris.

Son but est d’attirer l’attention sur la situation critique de nos édifices religieux, de toutes confessions : un patrimoine qui constitue le plus grand musée d’architecture, de sculpture et de peinture de la Nation. A la veille d’une mutation fondamentale de notre société, l’OPR estime que la moitié des 100 000 bâtiments religieux ruraux de France risquent d’être désaffectés dans les décennies à venir dont pas moins de 50 000 pourraient même être mis en vente.

L’association, qui a reçu le soutien des plus hautes autorités de l’Etat et de nombreuses personnalités, compte tout mettre en œuvre pour faire mieux connaître ce patrimoine spirituel, aussi vulnérable qu’admirable et qui témoigne de 2000 ans d’Histoire de France, afin de le préserver des menaces qui pèsent sur lui. Son site Internet interactif, via le portail culture.fr, recensera sur le plan historique, architectural, artistique et géographique les milliers d’éléments qui peuvent intéresser les propriétaires ou les affectataires, les usagers comme les historiens et les historiens de l’art.

L’OPR, veut inciter à cet effet des publications, organisera des conférences et toutes sortes manifestations culturelles avec l’aide des délégués départementaux et régionaux. Il agira en liaison avec La Sauvegarde de l’Art Français, reconnue d’utilité publique. L’association souhaite fédérer ses travaux de recherche, de protection et de mise en valeur existants, dans un large mouvement national permettant à chacun de bénéficier de ses appuis intellectuels et financiers. « Il convient d’agir vite, affirme Béatrice de Andia, présidente de l’Observatoire du Patrimoine Religieux, car nous voyons des horreurs se produire chaque semaine dans ce domaine là… »

L’Observatoire du Patrimoine Religieux

31, rue Raffet 75016 Paris
tél. : 01 42 88 24 33
obspr1@aol.com
source: Pelerin.info

La Seine Maritime reprend l'abbaye de Jumièges

Après les châteaux de Chaumont-sur-Loire et du Haut-Koenigsbourg, l'abbaye de Jumièges près de Rouen, un des plus grands monastères bénédictins d'Occident, est le 3ème monument historique transféré par l'État aux collectivités locales.

L'État vient de céder l'abbaye de Jumièges, le seul monument carolingien non totalement détruit au nord de la Loire, au département de la Seine-Maritime, lequel veut selon son président Didier Marie (PS) en faire « une référence » en matière culturelle axée sur le théâtre, la musique et l'art contemporain et développer le tourisme historique en implantant en son sein un centre d'interprétation.

Ce gigantesque monument est tout particulièrement célèbre par la particularité et les proportions de son architecture, dont les tours jumelles, hautes de 46 mètres, dominent la Seine toute proche.

Vendue comme bien national après la Révolution, l'abbaye fut achetée par des particuliers et transformée en carrière de pierre de 1795 à 1825. Des propriétaires plus soucieux de sa conservation et de sa mise en valeur prirent ensuite le relais jusqu'à son rachat par l'Etat en 1946.

Recevant 70 000 visiteurs chaque année, l'abbaye est un des sites les plus visités de Normandie. Le Département veut en faire un lieu de culture consacré au théâtre, à la musique et à l'art contemporain.

Rappelons que l'État a engagé en 2005 un vaste plan de cession de son patrimoine historique aux collectivités locales qui pourrait porter à terme sur 165 monuments.

Source: Territorial.fr

Restauration du cloître St-Trophime à Arles

Classé monument historique par Prosper Mérimée en 1840, le cloître Saint-Trophime d'Arles est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1981. Bâtiment municipal, il est ouvert tous les jours à la visite et accueille des touristes venus du monde entier (environ 200 000 personnes par an).

Un magnifique patrimoine en péril.
Depuis les grandes restaurations du XIXème siècle, aucune intervention significative n'a été réalisée sur les galeries du cloître Saint-Trophime, et les parties refaites à l'époque sont de nouveau les parties les plus dégradées.
Le manque de moyens financiers de la ville d'Arles et l'engagement important sur d'autres monuments majeurs tels que le théâtre antique ou l'amphithéâtre, ont conduit à différer les travaux sur le cloître. Ce chantier aurait dû démarrer il y a une dizaine d'années déjà...
Le problème le plus important à régler sur ce site est l'écoulement de l'eau. Celle-ci, soit par remontée capillaire, soit par infiltration depuis la galerie supérieure, porte atteinte à l'ensemble des sculptures.

Une opération lourde qui nécessite un appel au mécénat.
Devant l'urgence des opérations à mener, la Ville d'Arles a contacté le World Monuments Fund, principale fondation privée dans le monde dans le domaine de la restauration, d’origine américaine, qui avait déjà participé financièrement à la restauration du portail de Saint-Trophime. Cet important mécénat privé viendra s'ajouter dans le cadre du programme WMF du « Robert W. Wilson Challenge to Conserve Our Heritage » à l'aide des partenaires publics : l'Etat, le Conseil général, la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Le chantier de restauration du cloître Saint-Trophime sera également l'occasion de faire le point sur les techniques de restauration les plus récentes. Il permettra d'aborder tous les problèmes liés à la dégradation de la pierre et à ses traitements. L'aspect scientifique du chantier sera donc intégré dans l'opération. Il donnera lieu à des rencontres, colloques, publications, qui permettront des échanges scientifiques fructueux.

La fin des travaux est prévue pour 2011. Il n'y aura pas de fermeture du monument : la restauration se fera par tranche et ménagera des endroits d'accès pour le public, avec, si possible, la possibilité de voir l'évolution du chantier.

Plus d'infos sur : http://www.wmf.org/

Isère : découverte artistique majeure dans l’église de Vif

Des sondages réalisés en janvier dans l'église Saint-Jean-Baptiste de Vif (Isère) ont décelé l’existence de 500 m2 de fresques religieuses des XIIIe-XIVe siècles sous cinq couches de badigeon.


Une résurrection des morts, des images de saints ont été mises au jour. « Par leur ampleur et leur état inespéré de conservation, ces peintures sont un patrimoine exceptionnel », constate le conservateur de l'Isère, Alain de Montjoye.

Une première tranche d'un million d'euros est nécessaire pour assurer la restauration. Le conseil général souhaite que ces peintures soient classées monument historique le plus vite possible : « Un classement permet d'obtenir des subventions pour la restauration allant de 50 à 60% des travaux ; le conseil général prendrait à sa charge la moitié des dépenses qui incombent à la commune ».

En savoir plus:


L’Arménie dévoile au Louvre ses trésors sacrés

Dans le cadre des manifestations organisées autour de l'Année de l'Arménie en France, le Musée du Louvre présente, du 21 février au 21 mai, l'exposition Armenia Sacra.

Parmi, les oeuvres d'art exposées ce reliquaire de la croix (14ème siècle) trésor de la cathédrale d'Etchmiadzine.

Le musée du Louvre présente pour la première fois une exposition consacrée à l’art chrétien arménien, depuis la conversion de l’Arménie– au début du IVe siècle – par saint Grégoire l’Illuminateur jusqu’à l’aube du XIXe siècle.

Né aux marges de Rome, au pied du mont Ararat où se serait échouée l’Arche de Noé, l’art chrétien arménien s’est d’abord épanoui aux frontières de Byzance et de l’Islam, puis au contact de l’Orient des croisades, avant de se renouveler, à l’ombre des empires perses et ottomans. Près de deux cents oeuvres illustreront l’extrême singularité et la richesse qui ont résulté de ces confrontations successives, parmi lesquelles manuscrits enluminés, reliquaires et oeuvres d’orfèvrerie…
À titre exceptionnel figureront également plus d’une trentaine de khatchkars caucasiens, grandes dalles de pierre monumentales dressées à la verticale et sculptées de croix,
véritables professions de foi des Arméniens, sans équivalents ailleurs.

Pour en savoir plus sur l'exposition cliquez ici.

A lire aussi:

Livre d'heure

Le blog de Dominique Autié, qui est lui-même éditeur, nous parle de sa relation aux Editions du Zodiaque:

"L'ouvrage qu'il me fallait ouvrir pour ouvrir cette page, en cette veille de Noël, n'a pas encore rejoint la bibliothèque. Une libraire d'ancien à Cluny m'a réservé hier son exemplaire de Jours de la Nativité ; j'ai glissé ce matin l'enveloppe contenant mon chèque dans la boîte aux lettres la plus proche. Il sera en souffrance, quelque part, au fond d'un sac postal, quand je mettrai en ligne cette page et, plus tard, quand l'Occident oubliera, pour une part significative de ses foules, qu'il fête le mystère de Bethléem.

J'aime la présence suspendue de ce livre. Autant que, chaque année un peu plus, me répugne Homo festivus le laïc, l'outre vide, le mort bon vivant.

J'aime ne posséder que ces quatre volumes de la collection « Les Points cardinaux » des moines de l'atelier du Cœur-Meurtry de l'abbaye Sainte-Marie de La Pierre-qui-Vire. J'aime savoir qu'il m'en manquerait une vingtaine si j'étais le collectionneur que je ne suis pas.

J'aime que ces moines aient été éditeurs, imprimeurs, libraires. [...]

J'aime comprendre que ma pensée secrète tient peut-être à ce que notre travail d'éditeur, ici, appelle sur lui la grâce efficiente qui inspirait les derniers moines éditeurs d'Occident."

photographier une œuvre d’art ou un monument historique

Voici un texte trouvé sur le sujet plus général du droit de la photgraphie, et qui illustre bien les dérives du système mis en place par l'état concernant la gestion du patrimoine:

S’il veut pointer son objectif vers une œuvre d’art ou un monument historique, le photographe peut rencontrer certains obstacles, notamment financiers. Depuis quelques années, les agences spécialisées dans le patrimoine pâtissent de la prérogative de l’Etat sur l’image de ses biens. En plus d’exiger des autorisations, les conservateurs de musées et de monuments classés demandent parfois des sommes faramineuses. A titre d’exemple, le Centre des monuments nationaux (Monum’) fixe des tarifs qui diffèrent selon le temps passé à photographier et l’utilisation réservée aux photos : 760 euros/jour pour des cartes postales, 915 euros/jour pour un livre tiré à plus de 1 000 exemplaires, 1 070 euros pour un reportage magazine et 3 050 euros/jour pour une publicité. Ces redevances ont un effet dissuasif : un photographe a dû, par exemple, abandonner la préparation d’un ouvrage sur le vitrail en France devant la lourdeur des démarches et le coût de ses journées de travail.

Votée en août 2006, la loi relative aux droits d’auteur et aux droits voisins dans la société de l’information (DADVSI) pourrait venir en aide aux photographes. Elle autorise « la reproduction ou la représentation, intégrale ou partielle, d'une oeuvre d'art graphique, plastique ou architecturale, par voie de presse écrite, audiovisuelle ou en ligne, dans un but exclusif d'information immédiate et en relation directe avec cette dernière, sous réserve d'indiquer clairement le nom de l'auteur ».

Lire l'article complet sur Le Blog Medias

Eglises médiévales d’Ile-de-France et Trésors des églises parisiennes

Eglises médiévales d’Ile-de-France
Les églises romanes et gothiques de Paris - Notre-Dame en tête - sont bien connues du public, mais leur renommée a trop souvent éclipsé leurs sœurs d’Ile-de-France.

Ces dernières, nombreuses, souvent attachantes, parfois grandioses, racontent pourtant le formidable renouvellement de la création artistique de la région à partir de l’an mil. C’est en effet entre le début du xXI et la fin du XIIe siècle que sont posés les jalons rythmant l’essor de l’art roman puis de l’art gothique en Occident.
Humbles ou célèbres, les monuments religieux d’Ile-de-France en gardent la mémoire et révèlent, chacun à leur manière, un pan de cette grande histoire.
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Trésors des églises parisiennes
Tintoret, Zurbarán, Le Brun, Girardon, Delacroix, Corot… les plus grands ont peint, sculpté, composé pour les églises parisiennes.
Aisément accessibles, leurs œuvres témoignent d’une grande diversité de styles : de la Vierge romane de Saint-Denis au triptyque de l’Américain Keith Haring à Saint-Eustache, neuf siècles d’art religieux sont représentés dans les églises parisiennes.
Le visiteur appréciera ces pièces remarquables avec une émotion d’autant plus grande qu’il les découvrira dans la lumière et l’ambiance si particulières d’un lieu sacré qui favorisent, mieux qu’ailleurs, la rencontre intime avec une œuvre de beauté mais aussi de piété.
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La carrière du chemin de Port-Mahon ou des Hospitaliers de Saint Jean

La carrière de Port-Mahon est la dernière carrière médiévale qui nous soit parvenue intacte.

Inscit en 1994, confirmé en 1998, le Conseil d’Etat confirme le classement : "Considérant ... que la carrière souterraine de Port-Mahon datant du 14e siècle est la seule véritablement attestée de cette époque sous Paris et qu’elle présente un panorama complet de l’exploitation de la pierre à la fin du Moyen Age, du fait de son caractère intact ... qu’ainsi, sa conservation présente un intérêt d’art et d’histoire de nature à justifier son classement parmi les monuments historiques..."

Menacé par le béton, ce Monument Historique est pourtant l'ultime chance qu'ont les Parisiens de conserver en l'état, celui du Moyen Age, une exploitation de pierre à bâtir.

http://collectifportmahon.blogspirit.com/chronologie/

Afghanistan, les trésors retrouvés, Musée Guimet

Afghanistan, les trésors retrouvés, collections du Musée National de Kaboul

Paris, musée Guimet, jusqu'au 30 avril 2007

On peut considérer comme miraculeuse la présence à Paris des trésors présentés depuis le début du mois de décembre au Musée Guimet. Le musée de Kaboul avait subi de sérieux dommages dès la période « soviétique » de la guerre d’Afghanistan mais le pire était à venir après la fin, en 1992, du régime prosoviétique de Najibullah. La guerre civile entre factions islamistes qui suivit la lutte contre l’occupant et ses collaborateurs fut en effet encore plus dévastatrice et la majeure partie des collections conservées fut détruite ou volée pour finir dans les réseaux de vente illégale d’antiquités. La destruction à l’explosif des statues géantes du Bouddha qui faisaient la gloire de Bamiyan laissait en tout cas présager le pire et il restait peu d’espoir de remettre un jour la main sur des trésors tels que celui de Begram, découvert par les archéologues français à la veille de la seconde guerre mondiale. La fin, en 2001, du régime des talibans permit pourtant de retrouver, dans les coffres du sous-sol de la banque centrale de Kaboul où Najibullah avait ordonné leur mise à l’abri une partie notable des trésors du patrimoine afghan. Quatre ensembles différents fournissent la matière de l’exposition du musée Guimet et suffisent pour révéler au public l’importance qu’a revêtue cette région durant l’Antiquité, celle d’un carrefour d’influences indiennes, perses, grecques et scythes. Le trésor de Fullol (cinq vases d’or et sept d’argent, dont trois sont présentés à l’exposition) a été découvert par des paysans en 1966 en Bactriane, dans le bassin de l’Amou Daria supérieur. Il témoigne de la richesse de la « civilisation de l’Oxus » qui, au IIIe millénaire avant J.-C., jouait un rôle d’intermédiaire entre le plateau iranien et la Mésopotamie à l’ouest et le monde de l’Indus à l’est. Les vestiges d’Aï Khanoum nous renvoient à l’époque où les Grecs conduits par Alexandre multipliaient les fondations de cités appelées à devenir, pour certaines d’entre elles, les grandes villes d’aujourd’hui, ainsi Alexandrie d’Arachosie devenue Kandahar ou Alexandrie d’Ariane, ancêtre de l’actuelle Hérat. Les reconstitutions virtuelles d’Aï Khanoum révèlent une agglomération dotée d’un plan hippodamique rigoureux et occupant un espace impressionnant. Contemporain du premier siècle après J.-C., le trésor de Tillia Tépé, la « Colline d’or » comptait près de vingt mille pièces dont les plus remarquables – une couronne d’or, une statuette de bouquetin et un superbe pectoral – constituent le « clou » de l’exposition. Enfin, le trésor de Begram – l’ancienne Alexandrie du Caucase – daté lui aussi du premier siècle de notre ère, comprend des médaillons de pierre sculptés, des rhytons de verre, des plaques d’ivoire ciselées et l’admirable statuette, en ivoire elle aussi, d’une déesse fluviale au déhanchement délicat, posée debout sur un makara, un monstre marin, qui révèle l’ampleur de l’influence exercée par l’Inde voisine.

Site de l'exposition:
http://www.guimet.fr/tresorsafghans/index.html

source: Lettre d'informations culturelles - Nouvelles de Clio n°67

Disparition de Marcel Durliat

Marcel Durliat est décédé le 25 décembre 2006. Chercheur inlassable, enseignant incomparable, il fut l’auteur d’écrits fondamentaux sur l’art médiéval.
Né en 1917, il obtint l’agrégation d’histoire en 1945. Nommé au lycée de Perpignan, il s’y passionna pour la sculpture romane et publia de nombreux ouvrages et articles dont sa thèse, L’art dans le Royaume de Majorque, en 1962. A cette date, il occupa la chaire d’Histoire de l’art médiéval de l’Université de Toulouse, qu’il conserva jusqu’à sa retraite, en 1979, refusant à trois reprises les postes parisiens qu’on lui proposait. Parurent alors ses ouvrages majeurs : Roussillon roman, Pyrénées romanes, Haut-Languedoc roman, de même que L’art Roman et Des Barbares à l’An Mil dans la collection Mazenod. En 1990 il publia la synthèse de sa réflexion : La Sculpture Romane de la route de Saint-Jacques. De Conques à Compostelle. L’essentiel de sa bibliographie, soit plus de quatre cents titres, est répertorié dans le volume De la création à la restauration, publié en son honneur en 1992.
Faisant autorité dans le domaine de l’art médiéval, il sut également comprendre, apprécier et défendre l’art du XIX e siècle, notamment lors de son courageux combat pour tenter de sauver la basilique Saint-Sernin de Toulouse d’une pitoyable « dérestauration ».
Il fut et demeure un lecteur et un écrivain inspiré du monde des formes.

Michèle Pradalier-Schlumberger, présidente
de la Société archéologique du Midi de la France

Pascal Julien, directeur du département d’Histoire de l’art
de l’Université de Toulouse II

Un autre hommage:
http://inactuel.hautetfort.com/archive/2007/01/10/en-hommage.html

A lire de Marcel Durliat :
L’art roman, citadelles et Mazenod, Paris, 1993.
La sculpture romane de la route se Saint-Jacques - de Conques à Compostelle, Comité d’Etudes sur l’Histoire et l’Art de la Gascogne, Mont-de-Marsan, 1990.
L’abbaye de Moissac, Ouest-France, Rennes, 1985
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