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TERRITOIRE ROMAN N°1 : conférence et exposition à Paris le 02/02


A l'occasion de la sortie de l'ouvrage TERRITOIRE ROMAN N¨1

l'Office de Tourisme du canton de Penne d'Agenais a le plaisir de vous inviter

MARDI 2 FEVRIER 2010

à partir de 18H

à la MAISON AQUITAINE,
21 rue des Pyramides
75001 PARIS
Téléphone : 01.55.35.31.42

Exposition de Maria Garrouste et conférence de Mireille Colas, historienne de l'art

Découverte de l'art roman dans les églises champêtres

en Vallée du Lot, Agenais et Quercy

A l'issue de la conférence, vers 19h30, apéritif et dégustation des spécialités locales offerts par la Communauté de Communes de Penne. Renseignements 05 53 41 37 80

livre: Sculpture romane du Poitou Volume 2 : Le temps des chefs-d'oeuvre

La Sculpture romane du Poitou, le temps des chefs-d'oeuvre, par Marie-Thérèse Camus, Elizabeth Carpentier et Jean-François Amelot, Editions A et J Picard, Paris 2009. 520 pages. 68 € jusq'au 31 mars, 84 € ensuite.

Cette vaste étude, élogieusement préfacée par Jacques Le Goff, peut-être qualifiée sans conteste, à la fois de livre d'art et d'ouvrage scientifique.


Mmes M.-T. Camus et E. Carpentier, deux historiennes de l'université de Poitiers (qui furent également directrices adjointes du Centre d'Etudes Supérieures de Civilisation Médiévale) ont uni leurs compétences au grand talent d'un photographe, J.-F. Amelot, à qui l'on doit les images d'un autre ouvrage publié chez Picard: La Sculpture romane en Bas-Limousin.


L'entreprise a été soutenue par les conseils généraux des départements concernés ainsi que par une entreprise privée.


Les études, détaillées, précises, rigoureuses, ouvrent des hypothèses intéressantes, novatrices. Ainsi celle qu'autorise le constat de l'absence d'artisans et de marchands dans les sculptures où pourtant fourmillent les autres acteurs de la société laïque et religieuse.


Soulignons aussi les examens approfondis de la façade de Notre-Dame la Grande de Poitiers, ainsi que des sculptures d'Aulnay. Insistons encore sur la très haute qualité technique et artistique des 572 photographies qui accompagnent le texte.


Ce magnifique ouvrage séduira les historiens, les historiens de l'art, les amateurs de beaux livres... et tous les amoureux de l'art roman.

Michel Claveyrolas


Fiche de l'éditeur:
Regards croisés d'un photographe, d'une historienne, d'une historienne de l'art, sur la sculpture romane conservée dans les églises du Poitou.

Cette aire artistique, relativement stable de la fin du XIe siècle jusqu'au milieu du siècle suivant, englobe les actuels départements de la Vienne, des Deux-Sèvres et de la Vendée. Elle correspond, grosso modo, à l'ancien diocèse de Poitiers. Le livre n'est pas une simple promenade dans le Poitou roman. Considérant que l'image en trois dimensions constitue, au même titre que l'écrit ou les données de l'archéologie, une source capitale pour la connaissance du passé, les auteurs tentent non seulement de décrypter le message proposé aux chrétiens du XIIe siècle et, au-delà, de toute génération, mais aussi d'aller à la rencontre des hommes et des femmes de ce temps, de découvrir leurs modes de vie et de pensée, avec leurs règles, leurs usages, leur spiritualité, leurs aspirations profondes, leurs angoisses, leur imaginaire...

La construction religieuse a été très active, des sculpteurs ont travaillé en de multiples chantiers, véritables centres de création ; les hommes, les modèles ont circulé. Il s'est développé une vie artistique intense dans le champ de l'aire artistique concernée qui, loin de vivre repliée sur elle-même, a rayonné au-delà de ses limites tout en étant largement ouverte aux innovations extérieures. Toutes les conditions étaient réunies pour que naissent de véritables chefs-d'oeuvre, comme autant de points forts de l'art occidental. Après le milieu du XIIe siècle, des courants de fond orienteront résolument le Poitou vers les pays de la Loire et l'Ile-de-France. Il résulte de cette enquête une manne d'informations et d'interrogations nouvelles sur un monde en rapide mutation.

Sculpture romane du Poitou Volume 2 : Le temps des chefs-d'oeuvre , Marie-Thérèse Camus, Elisabeth Carpentier, Jean-François Amelot,Relié, 519 pages, éditions PICARD (25 novembre 2009)

S.O.S. église romane de Nohant en péril

L'église romane de Nohant est en péril. Elle a vu défiler tous les grands témoins du temps de George Sand. Désormais il y a urgence.

L'image de l'église de Nohant circule dans le monde entier, photographiée ou conservée par tous les amoureux de George Sand qui, au-delà des livres, ont visité ou se sont intéressés au sanctuaire berrichon.

Las, ce petit édifice religieux, classé Monument historique depuis 1945 ainsi que la place qui l'entoure, est mal en point. Des résineux poussent sur sa toiture, elle souffre d'humidité, car construite sans fondation et en partie tenue à l'ombre par un tilleul planté trop près, des parements se dégradent, les tuiles sont poreuses? Charpente, couverture, huisseries, serrureries, peintures, assainissement du sol en périphérie, il faudrait intervenir dans de multiples domaines pour sauvegarder cette église de neuf siècles, témoin de l'art roman berrichon.

Elle est la propriété de la commune mais c'est la communauté de communes de La Châtre Sainte-Sévère qui en a la gestion. Mais le devis des travaux estimé à 500.000 euros pour deux tranches, est trop lourd pour ses finances qui se trouvaient, il y a peu, déficitaires. L'État pourrait apporter 207.800 euros, le département 83.150, la communauté de communes 87.250, mais le compte n'y est pas.

En août dernier, à l'initiative d'un habitant du village, Robert Colomb, s'est créée l'Association pour la sauvegarde de l'église de Nohant (Asen) qui travaille à élargir le tour de table pour recueillir un maximum de fonds. Elle compte déjà une centaine d'adhérents.

L'état du lieu est tel qu'elle ne sert plus que pour les enterrements des habitants de Nohant. On n'y a pas célébré Noël depuis plusieurs dizaines d'années alors que le cadre s'y prêterait vraiment et que son histoire sandienne en fait un lieu de mémoire.

Lors d'une récente réunion publique de l'ASEN, Vanessa Weinling, chargée de l'action culturelle de la ville de La Châtre, avait rappelé que la cloche de cette petite église avait été offerte en 1894 par Joséphine Calamatta, belle-mère de Maurice Sand, le fil de George Sand et qu'Eugène Delacroix, grand ami de la romancière dont Maurice Sand était l'élève, avait peint pour cette église une scène de campagne avec Sainte-Anne éduquant la Vierge. Une servante de George Sand et sa fille avaient posé pour le peintre qui s'était fait une toile dans une vieille chemise de la bonne dame de Nohant. Le tableau a quitté ce saint lieu et est conservé au musée du romantisme à Paris. Une copie figure au musée de La Châtre.

Martine Geoffroy / Le Berry

Revue Religion et Histoire: Le premier art roman dans le Jura

Reportage dans le N° 30 - Janvier/février 2010 - 7.80 €

À l’occasion des 1100 ans de la fondation de l’abbaye de Cluny, les origines jurassiennes
des fondateurs de l’ordre, Bernon et ses douze compagnons légendaires, ont été remises au jour. En partant sur leurs traces, on rencontre un patrimoine architectural religieux d’une grande richesse mais souvent méconnu. À l’heure où l’Europe met la sauvegarde patrimoniale des édifices religieux au cœur de ses préoccupations et où les villes doivent choisir entre rénover ou détruire faute de moyens, le Jura tente de valoriser ses monuments, souvent isolés et à la charge de petites communes qui ne peuvent pas toujours les restaurer comme il le faudrait. Pourtant, dans un écrin de verdure et de calme, ces témoins de l’art roman le plus ancien méritent qu’on les redécouvre.

Auteur : Virginie Lérot

Magazine : Religions & Histoire n° 30 Page : 14-19

Date : 07/01/2010

Exposition : « Le mystère copte » à l’église St Germain-des-Prés, Paris

Conçue par l’Œuvre d’Orient avec la collaboration de Christian Cannuyer, égyptologue, cette exposition sera présentée pour la première fois à Paris à l’église Saint-Germain-des-Près.

du samedi 23 janvier 2010 à 9h00 au dimanche 14 fevrier 2010 à 18h00

« Le mystère copte : voyage aux sources égyptiennes du christianisme »

Le mot «copte » est à la fois familier et mystérieux. Il évoque l’Égypte chrétienne. Mais qui sont les Coptes ? Les chrétiens du Nil aiment à se présenter comme les héritiers des pharaons et insistent volontiers sur le fait que l’Égypte a été terre d’accueil de grandes figures bibliques.

Ce parcours didactique et largement illustré invite à la découverte d’une culture originale toujours bien vivante : histoire, langue, arts et littérature, liturgie, traditions…
Près de 10 millions de coptes, majoritairement orthodoxes, mais aussi catholiques font encore rayonner le christianisme en terre d’islam.

Une invitation aussi à mieux connaître l’Œuvre d’Orient et ses missions, aux côtés des évêques, des prêtres et des communautés religieuses d’Égypte depuis 150 ans.

Exposition du 23 janvier au 14 février 2010

Église Saint Germain-des-Près
1, place St-Germain-des-Prés 75006 Paris

Entrée libre aux horaires d’ouverture de l’église

Conférence dans le cadre de l’exposition

« Les Coptes, hier et aujourd’hui » par Christian Cannuyer

Professeur à la Faculté de Théologie catholique de Lille, Président de la Société Belge
d'Études Orientales, Directeur du Bulletin Solidarité-Orient, Directeur de la Collection "Fils d'Abraham" (Brepols), Secrétaire Général du Cercle Royal d'Histoire et d'Archéologie d'Ath (Belgique), auteur notamment de « L’Égypte copte : les chrétiens du Nil » ed. Découvertes Gallimard.

Vendredi 5 février à 20 h 30 - Salle Mabillon – 5, rue de l’Abbaye 75006 Paris

A propos de l’Œuvre d’Orient

Œuvre d’Eglise, l’Œuvre d’Orient est la seule association française entièrement dédiée au soutien aux chrétiens d’Orient. Elle contribue à leur instruction, à leurs soins et les accompagne spirituellement depuis plus de 150 ans. Grâce à ses 100 000 donateurs, elle aide évêques, prêtres et communautés religieuses à accomplir leur mission auprès de tous ceux qui en ont besoin, sans considération d’appartenance religieuse, dans 21 pays.

Plus d’information : www.oeuvre-orient.fr

Renseignements pratiques :

L’Œuvre d’Orient - 20, rue du Regard 75006 Paris
Contact presse Catherine Baumont
Tél. 01 45 48 54 46– courriel : cbaumont@oeuvre-orient.fr

L'art marial roman

L'art roman s'est développé en Occident entre les années 970 et 1230. Il se caractérise par un déploiement florissant de constructions architecturales religieuses au style à la fois dépouillé et imposant, et aux lignes sobres.

L'architecture

Voici des images typiques (cliquez sur les liens) de l'architecture romane.

Vue intérieure (Perse Espalion, Rouergue, France

Nef, croisée et chœur (Conques, Rouergue France)

Vue extérieure du chevet (Conques, Rouergue France)

Nef (Saint Martin du Canigou, France)

Crypte (Saint Martin du Canigou, France)

Coupole (Issoire, France)

Parmi les très nombreuses perles de l'architecture romane, citons : les basiliques de Saint Ambroise à Milan, Vézelay, Marmoutier et Avignon en France, la cathédrale de Spire en Allemagne, la cathédrale de Solsona en Espagne.

L'art non figuratif

L'art roman est aussi un art non figuratif, qui n'est pas dépourvu de valeur et doit sans doute être interprété comme une transcription dans la pierre des rythmes musicaux, des écarts entre les notes de musiques...

Exemple 1 Portail principal de Chartres (cliquez)

Exemple 2 Portail principal de Chartres (cliquez)

L'art de l'enluminure(ou art du livre)

Les moines en leurs monastères copiaient les textes (bibliques, vies de saints, sermons) sur des parchemins dont ils décoraient les pages d'enluminures.

Par exemple, dans un magnifique manuscrit du trésor de la cathédrale de Spire (Allemagne) - voir : cliquez.

Nous pourrions aussi évoquer le "Psautier d'Ingeburg de Danemark", etc.

L'art d'église

Des sculptures en pierre ornent les tympans des portails et les chapiteaux des colonnes, et d'autres décorations ornent les objets liturgiques.

Les articles suivants montreront de très nombreux exemples.

Les sculptures autonomes

Les Madones romanes sont d'un style sobre, destiné à intérioriser le regard vers une beauté plus spirituelle que physique.

Cliquez pour voir le Christ roman polychrome (Vebret, Auvergne, France)

Françoise Breynaert / Marie de Nazareth

Lentilly: Exposition photos - 30 janvier

Exposition de photographies sur l’Art ROMAN - réalisées par le Club Photo de Lozanne - au Centre d’animation de Lentilly proposée par les Vieilles Pierres Lentilloises du samedi 30 janvier - de 11h00 à 18h00 - au dimanche 31 janvier - de 10h00 à 18h00 - entrée gratuite.

Les photographes amateurs du club photo de Lozanne présenteront une soixantaine de photos numériques, en couleur ou noir et blanc, églises et monuments religieux de style roman. : sites clunisiens du Brionnais, Roannais et Beaujolais, mais aussi édifices religieux de Bourgogne et de la Dombes.

Club photo Lozanne

Président : Gérard Urbin
195, route de Chazay
69380 Lozanne
Tél. 06 22 21 00 24

Courriel : gerard.urbin@gmail.com

ACIR Compostelle - Voeux 2010

chemins-compostelle

Association de Coopération Interrégionale «Les chemins de Saint-Jacques de Compostelle»
4 rue Clémence Isaure - FR-31000 TOULOUSE (M°A Esquirol, M°B Carmes) - Tél. : 00 33(0)5 62 27 00 05
www.chemins-compostelle.com

Exposition Hugues de Semur, Lumières clunisiennes

jusqu'au 11 octobre 2009 / Paray-le-Monial (Saône-et-Loire)

à la Basilique, au cloître et au musée du Hiéron.

Exposition organisée à l’occasion du neuvième centenaire de la mort d’Hugues de Semur, sixième abbé de Cluny, par la ville de Paray-le-Monial et le musée du Hiéron, avec le soutien de l’Institut Universitaire de France, du CNRS et de l’Institut National de Recherche Archéologique Préventive.

Trois grandes thématiques :
  • Les images de saint Hugues à travers les siècles, avec le prêt exceptionnel de la Bibliothèque nationale de France du manuscrit 17716, datant du XIIIe siècle, qui offre au regard ses magnifiques enluminures.
  • Cluny III et la lumière.
  • L’archéologie du bâti, la liturgie et la résurrection de l’architecture religieuse du XIe-XIIe siècle en Bourgogne du sud. Un point sur les dernières découvertes archéologiques à la basilique de Paray-le-Monial.
Au cours de cette manifestation, la figure du sixième abbé de Cluny apparaît indissociable de l’expansion clunisienne dans le Brionnais-Charolais et du développement de l’art roman entre Loire et Beaujolais.

Prochainement : sortie du catalogue d’exposition "Hugues de Semur (1024-1109) : Lumières clunisiennes", indispensable complément à la visite, élaboré sous la direction de Nicolas Reveyron, professeur à l’Université Lumière Lyon 2 et directeur de l’Unité Mixte de Recherche 5138 du CNRS (Archéométrie et archéologie), en collaboration avec Gilles Rollier, archéologue à l’Institut national de recherches archéologiques préventives, rattaché à l’UMR 5138. 188 pages, une centaine d’illustrations, édition Orphie.

exposition sur "L'art préroman dans l'Aude"

L'art préroman audois à l'office du tourisme L'office de tourisme accueille, jusqu'au 19 février, une exposition présentant l'art préroman et ses influences.

Vendredi 15 janvier, André Bonnery, président de la Société d'études historique de Trèbes, terminait de mettre en place l'exposition sur "L'art préroman dans l'Aude". Cette exposition restera en place jusqu'au 19 février.
André Bonnery ne se présente plus tant son érudition en matière d'histoire antique est immense et son savoir intarissable.
Le thème de cette exposition porte sur l'art préroman propre à notre région, dans les diocèses de Carcassonne, Narbonne, des Fenouillède au Capcir, jusqu'au Donezan, que l'on situe entre le VII e et le X e siècle, un art influencé par les Arabes, les Wisigoths et les Carolingiens dés le IX e siècle (entre-las propre au monde carolingien). Cette exposition montre, au travers de photos, les différentes influences de cette période de migration, avant

que n'apparaisse l'art roman. Nul doute que cette exposition sera très visitée, avec un temps fort le 22 janvier à 18 h 30, lors du vernissage. Ce sera l'occasion, pour André Bonnery, de présenter, avec sa verve habituelle, cet accrochage au public.

Source: Midi libre

Routes et itinéraires

Voici quelques propositions d'itinéraires nouvelles qui viendront s'ajouter aux itinéraires et voyages du site. D'autres sont bien sûr disponibles dans les guides pratiques déjà présentés sur le site.

Visite guidée: « Andenne : circuit vélo des églises romanes »
- 8 août 2010
Départ de l’Office du Tourisme de la Ville d’Andenne, place des Tilleuls, 48 à Andenne.
Visite guidée par M. LAFFINEUR (Guide Touristique du Namurois) - 3€/pers.
L’église des « Sarrasins », Saint-Etienne, Saint-Martin trois noms d’édifices religieux romans. Trois visites, en compagnie d’un guide, d’un ensemble architecturel remarquable.
Vélo indispensable, équipements adaptés
Site d'organisation

Églises romanes dans les Gorges du Tarn.
Parcours d’Ispagnac au Rozier
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Architecture religieuse romane en Alsace
PAYS DE BARR ET DU BERNSTEIN
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La route romane d’Alsace invite à découvrir un aspect majeur du patrimoine régional. Itinéraire à suivre du nord au sud :
- WISSEMBOURG : église Saint Pierre et Paul - XI° -
- ALTENSTADT : église Saint Ulrich - XII° -
- SURBOURG : église Saint Arbogast - XI° -
- NEUWILLER les SAVERNE : église Saint Pierre et Saint Paul XII° aux restaurations du siècle dernier -
- SAINT-JEAN SAVERNE : église Saint Jean Baptiste - X° -
- MARMOUTIER : église Saint Martin - XII° -
- OBERSTEIGEN : chapelle de l’Assomption de la Vierge- XIII°-
- STRASBOURG : crypte voutée de la cathédrale - église Saint Etienne XII° - église Saint Thomas XIII° -
- ESCHAU : Abbatiale Saint Trophine - marques du premier art roman alsacien.
- ROSHEIM : église Saint Pierre et Saint Paul - XII° -
- ANDLAU : église Saint Pierre et Saint Paul - X° XII° -
- EPFIG : chapelle romane Sainte Marguerite XI° -
- SELESTAT : église de Saite Foy - XII° -
- SIGOLSHEIM :église Saint Pierre et Saint Paul - XII° -
- KAYSERSBERG : église de la Sainte Croix
- GUEBERSCHWIHR :église Saint Pantaléon - XII° -
- MURBACH : église Saint Léger
- GUEBWILLER : église Saint Léger - début XIII° -
- OTTMARSHEIM : église Saint Pierre et Saint Paul - XI° -
- FELDBACH : église Saint Jacques

16/01: Cathédrale de Bourges Inauguration du Chemin saint Guillaume

Samedi 16 janvier à 11H30 au chevet de la Cathédrale de Bourges (Cher) aura lieu l’inauguration du « Chemin saint Guillaume » marquant la clôture de « l’Année saint Guillaume ».

Elle sera présidée par M. Serge LEPELTIER (maire de Bourges), M. GITON (maire-adjoint à la Culture et au Patrimoine) et de M. Bernard BROSSARD (président des Amis de la Cathédrale de Bourges).

De nombreuses personnalités seront présentes comme M. RIBAULT (Conservateur en chef honoraire du Patrimoine), Mgr MAILLARD, Archevêque de Bourges
ainsi que les organisateurs des nombreuses manifestations qui ont eu lieu durant cette année si fertile (colloque sur la Cathédrale, concerts, expositions, conférences, visites guidées sur le thème de saint Guillaume et la Cathédrale …)

source: B. de Sagazan / Patrimoine en blog

ABBAYE AUX DAMES. 550 000 E sont consacrés à l'aménagement du nouvel espace d'accueil et de vente de produits culturels

A côté d'une activité culturelle intense et réputée, l'Abbaye aux dames développe une politique commerciale et touristique génératrice de recettes et s'assure, ainsi, une certaine liberté de manoeuvre. Ce qui n'est pas négligeable dans le contexte actuel ; plusieurs collectivités territoriales serrent, en effet, les boulons des subventions, voire les diminuent.

En plus des spectateurs du Festival de musique, le site reçoit, bon an mal an, 32 000 visiteurs, scolaires, touristes, entreprises ou associations occupant l'une des salles de réunions, une journée, une soirée ou sur une période plus longue.

Ayant le souci de mieux accueillir ses différents publics, l'Abbaye aux dames concrétise, cet hiver, un investissement demeuré dans ses cartons plusieurs années. Un nouvel espace consacré à l'accueil, à la billetterie et à la boutique de vente est en cours d'aménagement au rez-de-chaussée du bâtiment administratif.

Un emprunt, des subventions

Architecte designer, Thierry Deleforges, qui a déjà travaillé pour le Mont Saint-Michel, la Corderie Royale à Rochefort ou la fondation de l'abbaye Royaumont, signe la nouvelle structure, plus vaste que la précédente, située sous un escalier. En plus des produits culturels (livres, CD, DVD) se rapportant à la programmation musicale, la future boutique valorisera des thématiques liées à l'abbaye. Par exemple, l'architecture romane.

En parallèle, l'acoustique de deux salles de réunions portant le nom d'anciennes abbesses - Marguerite et Florence - sera traitée afin de mieux répondre aux attentes de leurs futurs usagers.

Au global, le chantier coûtera 550 000 euros. L'association de l'Abbaye aux dames finance la dépense à travers un emprunt couvert, pour partie, par des subventions (1). Intérêts compris, il restera 53 000 euros à la charge de l'Abbaye, dont le budget annuel s'élève à 2,2 millions d'euros.

Ces équipements opérationnels, l'Abbaye aux dames repensera ses circuits de visite. « Il s'agira de valoriser l'ensemble architectural, mais aussi de promouvoir le travail mené, ici, dans le domaine musical », explique Odile Pradem-Faure, directrice générale de l'abbaye.

« Pédagogie »

D'autre part, l'association gestionnaire souhaite relancer le club d'entreprises. Elle a été déclarée d'utilité publique depuis trois ans et, malgré les incitations fiscales liées à ce statut, les mécènes ne se bousculent pas au portillon. Aujourd'hui, leur contribution représente à peine 50 000 euros dans le budget global. Les incertitudes liées aux finances institutionnelles conduisent l'Abbaye aux dames à actionner à nouveau ce levier : « Les entreprises se tournent plus volontiers vers des clubs sportifs, observe Odile Pradem-Faure. Il nous faut faire preuve de pédagogie, rappeler les retombées du festival sur la ville - 2 millions d'euros - pour preuve de notre poids économique réel. »

(1) Pour cette opération, la Ville de Saintes a accordé 200 000 euros, versés sur quatre années successives, le Conseil général 160 000 euros versés cette année, la Région 75 000 euros, la Fondation de France-Crédit Agricole 57 000 euros et l'État 50 000 euros.

Auteur : dominique paries / Sud-Ouest

Issoire: Le Centre d'art roman Georges-Duby

Le Centre d'art roman Georges-Duby est situé à l'emplacement de l'ancienne abbaye bénédictine qui, au Moyen Âge, jouxtait l'abbatiale Saint-Austremoine d’Issoire.

Il a pour mission de favoriser la connaissance et la mise en valeur du patrimoine roman, avec ses espaces d'accueil, de vidéo, de recherche, de documentation et de divertissement.

Le Centre d'art roman Georges-Duby, mémoire de pierres…

Situé à deux pas du centre ville, à l’ombre de la superbe abbatiale romane Saint-Austremoine, le Centre d'art roman Georges-Duby renferme les vestiges de l'ancienne abbaye bénédictine qui, au Moyen Âge, jouxtait l'église.
Ouvert durant l’été de mai à octobre, il a pour mission de favoriser la connaissance et la mise en valeur du patrimoine roman, avec ses espaces d'accueil, de documentation, d'expositions et d'animations destiné au public le plus large.

Deux campagnes de restauration des salles voûtées de l'ancienne abbaye ont permis de mieux accueillir les visiteurs. Un aménagement plus complet a donné tout son sens à l'appellation « Centre d'art roman » : en effet, cette structure est désormais dotée de salles d'expositions, de vidéo, de recherche et de documentation, ainsi que d'un espace ludique.

Le Centre Georges-Duby rassemble ainsi les souvenirs d'un passé riche et authentique, joints au désir de préserver et de transmettre un patrimoine culturel important. Il tisse, à travers les siècles, un lien entre le passé, le présent et l'avenir de l'Homme.

Chaque été à la fin du mois de juillet, un festival d'art roman est organisé par l'association « Terres Romanes d'Auvergne ». À cette occasion, concerts, spectacles, expositions, ateliers d'inititation, stages, excursions et randonnées sont proposés au public.
Un colloque international d'art roman clôture chaque automne la « Saison Romane ».

Centre d'art roman Georges-Duby

Parvis Raoul Ollier
63500 Issoire

Contacts :

  • Accueil : Tél. 04 73 89 56 04
  • Permanence administrative : Tél. 04 73 89 25 57
  • Inscriptions excursions, concerts, stages : Tél. 04 73 89 71 52

Plus d'informations sur la programmation sur le site de l'association "Terres Romanes d'Auvergne".

Horaires d'ouverture :

  • de mai à octobre : du mardi au dimanche de 10h à 12h et de 14h à 18h
  • en juillet et août : tous les jours de 10h à 18h30

Découvrez les trésors des églises parisiennes

La Commission diocésaine d’Art Sacrée de Paris ajoute régulièrement des informations et des photographies sur les lieux et les œuvres d’arts méconnues des églises parisiennes.

À découvrir : la chapelle du Collège Irlandais, les églises orientales de Paris et les vitraux patriotiques…

Pour en savoir plus
Actualités de la Commission diocésaine d’Art Sacrée de Paris