Joyeux Noël
Merry Christmas
Frohe Weihnachten
Buon Natale
feliz Navidad
vrolijk Kerstfeest
Nedeleg laouen ...
21 décembre 2008
Joyeux Noël
Merry Christmas
Frohe Weihnachten
Buon Natale
feliz Navidad
vrolijk Kerstfeest
Nedeleg laouen ...
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L'Association du Millénaire de Rhuys, la Société Polymathique du Morbihan organisent les 30 et 31 janvier 2009 un colloque consacré à saint Gildas de Rhuys et son abbaye, dont voici le programme :
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20 décembre 2008
L'exposition Babylone du British Museum évoque la capitale politique et religieuse des royaumes de Mésopotamie, nom mythique lié à ceux d'Hammourabi et de Nabuchodonosor, deux de ses souverains.
La description d'Hérodote et les évocations de la Bible perpétuèrent l'image d'une ville bientôt disparue et firent naître le mythe de la cité de plaisirs et de ses "jardins suspendus". Mêlant l'art et l'archéologie, l'exposition retrace l'histoire et la légende d'une cité aujourd'hui site historique menacé.
Se déroule aum ême moment l'exposition Byzance 330 - 1453 présentée par la Royal Academy of Arts en collaboration avec le musée Benaki d'Athènes. La réunion de près de 300 œuvres d'art permettra de parcourir l'histoire politique, religieuse et artistique de Byzance, de sa fondation par l'empereur Constantin à sa prise par les troupes ottomane de Mehmed II. Fondée au cœur de l'immense Empire romain, la ville, devenu un joyau du Moyen Âge, fut le théâtre d'importantes controverses religieuses mais également l'objet de convoitise des royaumes voisins.
Clio vous propose ces voyages combinés avec d'autres musées londoniens
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19 décembre 2008
Avec celle d'Évry, en Essonne, la cathédrale de lille Notre-Dame de la Treille était la seule de France à ne pas bénéficier de ce label protecteur. Mas ce classement signifie aussi une évolution des regards des historiens de l'art vers une une plus juste reconnaissance de la qualité des œuvres du XIXème siècle, longtemps négligé, pour ne pas dire méprisé.
Lu dans La Voix du Nord du 18 décembre 2008 sous la plume de Jean-Marie Duhamel :
La bonne nouvelle pour La Treille, désormais monument historique
L'inscription concerne la cathédrale et le site, y compris le campanile de briques (à droite). : La Voix du Nord
C'est à Rome , où il est en ce moment, que Mgr Laurent Ulrich, archevêque de Lille, a appris la bonne nouvelle : la cathédrale de Lille va être inscrite au titre des Monuments historiques. Sur avis favorable donné mardi soir par la commission régionale du patrimoine et des sites, le préfet devrait, tout prochainement, signer le décret officiel de protection.
Extrait
Cet événement, attendu depuis longtemps, marque la fin d'une exception culturelle - pas vraiment élogieuse pour le coup - en même temps qu'un changement de regard sur un moment du patrimoine. À la différence de la grande majorité des cathédrales de France authentiquement médiévales qui appartiennent à l'État, Notre-Dame de la Treille était la seule cathédrale de France - avec celle d'Évry, construite à la fin des années quatre-vingt -, à ne pas bénéficier d'une telle protection. Elle est propriété du diocèse de Lille (institué en 1913) qui en a la charge, et l'on imagine bien que veiller à un tel monument, longtemps décrié, suppose beaucoup d'attentions et de gros moyens.
Mais par-delà les affaires d'intendance - aussi lourdes fussent-elles -, cette inscription marque aussi et surtout un changement de regard. Si on se souvient que la demande avait été initiée en 2002, par Gérard Defois, prédécesseur de Laurent Ulrich, on met en avant une chose : la toute récente reconnaissance d'un style, le néogothique cher au XIXe siècle qui en a largement usé (et parfois abusé, convenons-en). Historien de la cathédrale et archiviste du diocèse, Frédéric Vienne se souvient d'un article de La Voix du Nord au titre un peu provocateur paru dans les années soixante : « Va-t-on détruire la cathédrale ? » Entre le début d'un chantier passablement laborieux entamé au milieu des années 1850 dans une certaine forme d'exaltation mystico-constructiviste - bâtir une cathédrale en pleine Révolution industrielle ! - et aujourd'hui, les jugements portés sur l'architecture du XIXe comme du XXe siècles ont considérablement évolué, souligne Jacques Philippon, conservateur régional des Monuments historiques.
Lire l'intégralité de l'article Source: Pelerin.info, La voix du Nord
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17 décembre 2008
Comme vous avez sûrement pu le remarquer depuis quelques jours, tout le site a fait peau neuve, y compris le blog.
Après bientôt 10 ans d'évolutions, un peu de réorganisation était nécessaire, afin de mettre en avant des rubriques trop peu visibles que vous pourrez maintenant découvrir dans la barre de menu du site.
L'objectif est aussi de faciliter la consultation d'un site devenu très riche, vous êtes 15 000 à venir le consulter tous les mois !
De plus, il contient maintenant plus de 260 lieux et 15 000 photographies, et une actualité toujours très vivante, vous retrouverez donc tout ceci très rapidement dès la page d'accueil du site.
Tout n'est pas fini, si vous rencontrez des problèmes, avez des remarques... écrivez nous: webmaster@romanes.com
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15 décembre 2008
Au pied de l’abbatiale, le marché de Noël d’Ottmarsheim célèbre les arts et les traditions en accueillant une vingtaine de musées alsaciens et bâlois. Avec une nouveauté cette année : la présence également de cinq créateurs. Le tout placé sous le signe de la gourmandise !
Avec son célèbre joyau d’architecture romane, Ottmarsheim se devait de célébrer le Noël du patrimoine. Depuis sept ans, les musées sont ainsi à la fête, chaque mois de décembre, et ouvrent grand leurs coffres au trésor sur le parvis de l’abbatiale. Jouets, papier peint, poterie, art verrier, textile, mais aussi Musée du Sapeur Pompier, Maison du Pain, Musée Hansi, Moulin à Papier... en tout une vingtaine de musées d’Alsace et de Bâle présentent en un seul lieu un échantillon de leurs richesses patrimoniales, comme un passeport vers la curiosité.
Soupe de Noël et foie gras
Pour la première fois, des artisans d’art sont conviés aussi au marché de Noël : créatrices de bijoux, tourneur sur bois, peinture sous verre et fabriquant de massepain apportent une touche nouvelle et partagent avec les visiteurs leurs savoirs-faire.
Et puisque le thème de cette édition est la gourmandise, le programme des animations met d’ores et déjà l’eau à la bouche : préparation d’une soupe de Noël avec le comédien Martin Adamiec, création d’un biscuit, atelier de fabrication de foie gras, décoration de bredalas, etc. Noël s’annonce gourmand, cette année...
Programme :
11h30-13h30 et 15h45-18h30 : «Des mots et des Mets» avec Martin Adamiec, comédien.
15h : Chants de Noël par les enfants de la Mjc.
15h et 17h : Création d'un biscuit de Noël par André Walter, pâtissier.
16h-16h45 et 17h30-18h15 : «Les Gnomides déambulent» par A Corps Nomades.
Sources: Jds
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11 décembre 2008
Michel Escourbiac, imprimeur et éditeur graulhétois, se défend de poursuivre avec son œuvre photographique une quelconque démarche spirituelle. Son nouveau et lourd livre « La basilique St-Sernin de Toulouse » est avant tout une recherche poussée dans l'univers riche du patrimoine architectural de la région. Débutée avec Ste-Cécile d'Albi puis St-Bertrand de Comminges, cet ouvrage referme une trilogie. Mais, loin s'en faut, par le désir de découverte de l'artiste, son œuvre ne mentionne nulle part de point final. « Le patrimoine régional propose d'autres richesses qui ne sont pas assez mises en valeur. » Ce livre aura imposé à Michel Escourbiac quatre années de travail photographique. « Et toujours de nuit, pour ne pas gêner les offices et surtout maîtriser les éclairages sur les statues. »
Un labeur particulier puisque chaque prise de vue en hauteur a nécessité le montage d'un échafaudage, le réglage des prises de vue et la descente au sol pour déclencher les appareils.
Quand on sait que le livre renferme 350 clichés triés parmi des centaines d'autres, on imagine l'entreprise. Au final, une découverte dans le détail des 200 chapiteaux qui ornent ce joyau de l'art roman.
« Ceux pour lesquels, comme la porte de Miegeville, aux qualités de facture exceptionnelles les gens viennent de loin pour admirer. » Les photos de statues sont agrémentées des textes de Quitterie Cazes, maître de conférence à l'université de Paris I, et de Daniel Cazes, conservateur en chef de la basilique. Aux Editions Odyssée.
Source: La dépêche
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Sans attendre la fin de l'année et la dernière manifestation de ce dimanche 21 décembre, l'association, autour du président H. Ourliac, a présenté le calendrier des animations pour 2009.
Le 17 janvier, à 15 h, conférence sur la déportation.
Du 13 au 17 avril, stage de théâtre pour les enfants par Valérie Muzetti.
Le 24 avril, à 21 h, « une Petite Douleur », de H. Pinter par la Cie du Cube théâtre.
Le 25 avril, « Un jour le train partira », de Jean Valsaque, par la Cie du Cube Théâtre.
Le 17 mai, à 17 h, les Troubadours chantent l'art roman : ensemble « Tre Fontane » (musique araboandalouse) + exposition + conférence.
Le 30 mai, île de danse : deux danseurs contemporains investissent le cloître de l'abbaye.
Le 6 juin, les Historiades, sur le thème de la croisade albigeoise de 1 209.
Le 26 juillet, concert d'Yves Nicolle, luth et guitare.
Les 6, 7 et 8 août, cinéma d'histoire.
Un programme éclectique qui devrait satisfaire un large public.
Source: La dépêche
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10 décembre 2008
Nous vous présentons ces deux premiers numéros dont le contenu est d'une richesse exceptionnelle, qui vous permettront d'accroître sûrement votre savoir et de développer votre réflexion et votre esprit critique . Les contenus de ces revues vous donneront l'occasion d'enrichir vos connaissances de l'histoire des progrès des techniques et des sciences de l'humanité , au cours des premiers siècles de notre ère . Ils vous permettront surtout de développer votre compréhension et vos représentations des techniques elles-mêmes : des métiers, des savoir-faire, des compétences, des tours de main , de l'état d'esprit des artisans et des bâtisseurs de ces époques . Ces connaissances sont fondamentales car les débuts de l'émancipation de l' Europe par rapport au reste du monde sont apparus, ont émergés, au cours de la construction des grandes Abbayes Bénédictines et des Cathédrales gothiques .
Voici l'avant-propos de ce premier numéro :
C'est inévitable, un numéro chasse l'autre . Il n'empêche, à la rédaction des cahiers de Sciences et Vie nous ressentons souvent un pincement au coeur devant la brièveté de leur existence . Nous nous sommes donc offert le luxe de revisiter les thèmes que vous avez plébiscités . Et avons ainsi réunis, à titre exceptionnel, les plus belles pages des Cahiers dans une toute nouvelle collection dédiée aux bâtisseurs du sacré . Histoire de donner une seconde vie à une somme de connaissances recueillies précieusement avec l'aide des meilleurs spécialistes . Mais aussi pour rendre hommage aux hommes qui ont travaillé la pierre, le bois, le verre et le fer , les mots et les mythes, et qui nous ont laissés les plus beaux témoignages de leur foi . Les cathédrales, à commencer par Notre-Dame de Paris, étaient toutes désignées pour ouvrir, avec magnificence, cette série . I.BAvant-propos de la rédaction du deuxième cahier : Les Monastères et le Mont Saint-Michel
Avec les monastères se poursuit la collection des Cahiers de Science et Vie qui réédite les plus belles pages dédiées aux bâtisseurs du sacré . Après les Cathédrales, ce second opus (ouvrage) s'attache à montrer comment, du Xe au XIIe siècle, les communautés monastiques se multiplient en Europe et pourquoi l'ordre des cisterciens en particulier va développer de remarquables savoir-faire . La Règle qui les guide leur impose de subvenir eux-mêmes à leurs propres besoins . Ils doivent se nourrir et se vêtir, mais aussi se faire sidérurgistes et forgerons, verriers et tuiliers, hydrologues ... et deviennent par la force des choses de formidables ingénieurs, architectes et artisans . Que de chemins parcourus depuis la fondation du premier monastère en Gaule, vers 360 . Cette " Maison de prières " bâtie sur le site de Ligugé n'est qu'une modeste construction de bois . Mais après les invasions barbares, les monastères, ou plus exactement les abbayes, puisque par extension ce mot désigne aussi leurs bâtiments, s'offrent la protection, la blancheur et la beauté de la pierre taillée . Et s'octroient ainsi une part d'éternité . L'exceptionnelle longévité du mont Saint-Michel en témoigne : la merveille de l'Occident fête cette année ses 1300 ans d'histoire . I.B.Le Lys et la Crosse
Vers 1300, deux pouvoirs, animés d'une même ambition de s'affirmer et de s'étendre, transforment le visage de la Cité .Cette illustration, signée F .MOIREAU, 2006, représente une partie de la représentation de la Foire aux Lards .
A l'ensemble religieux répond, de l'autre côté de l'île, le Palais, siège du pouvoir royal . Entre ces deux géants prospèrent, à l'étroit, les multiples acteurs de la vie citadine .
Paris célèbre la fête pascale . Sur le parvis de Notre-Dame, le spirituel fait place nette à la bonne chère . Pendant trois jours, le porc salé, qui se vend sous toutes ses formes, est à l'honneur .
La fête gourmande bat son plein . Acheteurs et curieux s'affairent autour des exposants et de leurs tables sommaires où s'étalent les morceaux de jambon . [ A gauche, Notre-Dame, en face, l'Hôtel-Dieu].
Tout au long du Moyen Âge les pèlerins, bravant les épidémies et les dangers de la route, affluent en nombre au Mont . En ces temps où la peur de l'Enfer occupait les esprits, mieux valait garantir, fût-ce au prix de longs mois de marche, la paix de l'âme .Source: Les Gerboises
Harassés de fatigue, des pèlerins adultes et enfants arpentent la rue principale . La plupart arborent des coquilles peintes de couleurs vives . Un bourgeois achète quelques souvenirs avant de reprendre le chemin inverse .
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04 décembre 2008
Le ministère de la Culture et de la Communication organise les 4 et 5 décembre au Palais des Papes, à Avignon., une conférence pour la constitution d’un réseau des sites labellisés au titre du Patrimoine européen.
Ce réseau comprend aujourd'hui une soixantaine de monuments et sites, représentant dix-huit pays européens dont les chantiers navals de Gdansk - Centre Solidarnosc (Pologne), le Palais de Rundale (Lettonie), l'abbaye de Cluny, la maison Robert Schuman (France), le palais du Coudenberg (Belgique), le monastère de Yuste (Espagne), l'hôpital des partisans de Franja (Slovénie), Agora de l'Acropole d'Athènes (Grèce), le centre de musique Boris Christoff (Bulgarie), le site archéologique d'Istria (Roumanie)....
Communiqué de presse :
Le label Patrimoine européen est né de la volonté de mettre en valeur la dimension européenne « des biens culturels, monuments, sites naturels ou urbains, et des lieux de mémoire, témoins de l’histoire et de l’héritage européens, y compris le patrimoine contemporain et le patrimoine immatériel rattaché à un lieu » en Europe. Il comprend aujourd'hui une soixantaine de monuments et sites, représentant dix-huit pays européens.
Christine Albanel, ministre de la Culture et de la Communication, a souhaité organiser, dans le cadre de la
présidence française de l’Union européenne, une Conférence pour la constitution d’un réseau des sites labellisés au titre du Patrimoine européen.
Cette conférence, mise en œuvre par la direction de l’architecture et du patrimoine, se tiendra les 4 et 5 décembre prochains au Palais des Papes, à Avignon. Elle réunira l'ensemble des gestionnaires des sites labellisés au titre du Patrimoine européen ainsi que les administrations culturelles en charge du Label dans les vingt-sept pays de l'Union Européenne en présence de représentants de la Commission européenne, du Conseil de l'Europe et de l'UNESCO.
Elle poursuivra deux objectifs :
- renforcer des méthodes communes de gestion des sites et monuments labellisés au titre du Patrimoine européen
- placer les biens patrimoniaux au coeur du dialogue interculturel en Europe afin d’aboutir à la création d’un réseau des sites labellisés associant l’ensemble de nos partenaires européens. Grâce à ce réseau, le label permettra de développer les échanges entre sites, de renforcer les bonnes pratiques des différents monuments et de les inscrire dans la dynamique européenne à l'origine de sa création.
Parmi les sites représentés à cette conférence : les chantiers navals de Gdansk - Centre Solidarnosc (Pologne), le Palais de Rundale (Lettonie), l'abbaye de Cluny, la maison Robert Schuman (France), le palais du Coudenberg (Belgique), le monastère de Yuste (Espagne), l'hôpital des partisans de Franja (Slovénie), Agora de l'Acropole d'Athènes (Grèce), le centre de musique Boris Christoff (Bulgarie), le site archéologique d'Istria (Roumanie)....
Cette conférence s’inscrit dans le prolongement des conclusions du Conseil des ministres de la Culture et de l'Audiovisuel qui s'est tenu le 20 novembre dernier, à Bruxelles. Ces conclusions, adoptées à l'unanimité des vingt-sept Etats membres, ont notamment invité la Commission Européenne à présenter une proposition portant création d’un Label pour l’Union Européenne. Le label actuel, s’il est intergouvernemental, n’est en effet pas un label de l’Union.
Aux termes de ces conclusions du Conseil des ministres, les sites labellisés s’engageront à promouvoir les activités artistiques et culturelles, à développer un accueil et une information du public de qualité (signalétique en plusieurs langues, accessibilité à tous les publics, etc.) et à souligner la spécificité de leur histoire européenne.
Programme complet de la conférence
Retrouvez sur Patrimoine en blog d'autres notes sur des thèmes voisins dans la rubrique Du coté de l'Europe
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Les fêtes de fin d'année approchent, tout le monde est impatient, on attend de la magie, des surprises et surtout de la féerie.
Aussi, l'office de tourisme du Pays de Nuits Saint Georges organise une visite guidée de l'église Saint-Symphorien le 13 décembre à 20 heures.
Cette église d'inspiration romane et cistercienne, construite au XIIIe siècle, est aujourd'hui classée Monument Historique.
La visite guidée en nocturne sera une découverte de l'histoire et de l'architecture de cet édifice et des récents travaux de restauration.
Une boisson chaude (vin ou chocolat) sera offerte à chaque personne qui suivra la visite guidée, ainsi qu'aux autres visiteurs qui pourront les retrouver vers 21 heures tout en écoutant le carillon sonner.
Le rendez-vous est à l'église.
Tarif de la visite. - 5 euros par personne, boisson chaude offerte. Gratuit pour les moins de 18 ans.
Entrée libre pour écouter le carillon.
Réservation conseillée à l'office de tourisme 3 rue Sonoys à Nuits-Saint-Georges
Tél. : 03 80 62 11 17. E-mail : ot-nuits-st-georges@wanadoo.fr
source: Le Bien Public
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02 décembre 2008
Depuis longtemps désiré, le voilà désormais à la portée d'un clic : le site internet de La Sauvegarde de l'Art français est en ligne !
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Depuis le 14 novembre, Showaround, start-up de la technopole d'Orléans fondée par Rémi fauconnier, a lancé un site de démonstration assez bluffant : www.lafranceen360.fr Chaque jour il propose un nouveau site de notre patrimoine à observer en 360 degrés.
De la place du Capitole (Toulouse) au Pont Neuf (Paris), en passant par la place du Parlement (Bordeaux) ou la cathédrale d'Angoulême (photo proposée le 1er décembre) le visiteur peut découvrir ces lieux comme s'il était sur place. Ces images haute définition ont été prises à partir d'un mât télescopique à plusieurs mètres de hauteur. Ce qui donne un point de vue spectaculaire et peu habituel.
Depuis le 14 novembre dernier, un blog dédié à la découverte du patrimoine français s'est ajouté, par le biais de visites virtuelles haute définition.L'angle retenu est donc purement visuel, mais très spectaculaire, la plupart des vues ayant été effectuées depuis un mât télescopique à quelques mètres de hauteur.
Pour voir ces images (une nouvelle chaque jour):
La qualité de ces images pour restituer la beauté du patrimoine a été reconnue par les VMF (Vieilles Maisons Françaises) avec qui nous avons mis en place un partenariat.
http://showaround.typepad.fr/visite_virtuelle_france/
Source: Pelerin.info
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Nous relayons le messages des associations du Patrimoine sur les modifications légales qui sont en train d'être votées...
Message à l'attention de Mesdames et Messieurs les parlementaires
Le lundi 17 novembre, l'Assemblée nationale a voté un amendement visant à plafonner le régime fiscal des travaux de restauration des monuments historiques non ouverts au public. Les députés ont ainsi établi une discrimination à l'encontre de ces monuments historiques au motif que leur entretien ne correspondrait à aucune contrepartie d'intérêt général.
La mission d'intérêt général du propriétaire privé réside dans l'entretien et la sauvegarde du patrimoine afin qu'il soit transmis aux générations futures. Par la loi de 1913, l'État a jugé nécessaire d'instaurer un statut exceptionnel sur certains monuments au nom de leur qualité architecturale et non en raison de leur animation.
Les contraintes esthétiques et techniques imposées aux propriétaires par les services de l'État entraînent des coûts supplémentaires pour tous les travaux sur les monuments historiques. Un régime fiscal spécifique a été instauré en compensation de ces obligations : il ne constitue donc pas une "niche fiscale".
Introduire une discrimination liée à l'ouverture au public stigmatise les propriétaires privés qui oeuvrent avec passion pour la sauvegarde d'un patrimoine dont ils ne se sentent que dépositaires.
Les monuments privés représentent 50 % des monuments protégés et 90 % d'entre eux seraient potentiellement victimes de l'amendement adopté à l'Assemblée nationale, la grande majorité d'entre eux ne pouvant organiser une ouverture au public économiquement viable.
Quasiment tous sont visibles de la voie publique et tous participent au patrimoine culturel de la France.
Alors que les Français sont particulièrement attachés à leur patrimoineet que les moyens consacrés à son entretien sont notablement insuffisants, nous demandons au Parlement de revenir sur cette mesure.
Message de la Réunion des associations nationales de sauvegarde du patrimoine bâti et paysager, reconnues d'utilité publique - Paule Albrecht, présidente de la SPPEF ; Olivier de Rohan-Chabot, président de la Sauvegarde de l'Art Français ; Michel Fontaine, président de Maisons Paysannes de France ; Jean de Lambertye, président de la Demeure Historique ; Christian Pattyn, président de la Ligue Urbaine et Rurale ; Henri de Lépinay, président de REMPART ; Kléber Rossillon, président de la FNASSEM ; Philippe Toussaint, président des Vieilles Maisons Françaises
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Comme les cafés philosophiques, géographiques ou littéraires, le café patrimoine que l'association Paris historique propose depuis le mois de février 2006 est ouvert à tous et se veut un lieu d'échanges d'idées et d'opinions sur les problématiques liées au patrimoine historique et culturel.
Le prochain café-débat aura lieu le jeudi 11 décembre, sur le thème "Les chantiers de bénévoles pour la sauvegarde du patrimoine" et sera animé par Olivier Lenoir, délégué national de l'Union REMPART.
Débat à 19h30, accueil à partir de 19h.
Pour plus d'information : www.paris-historique.orgLabels: bénévolat, FNASSEM, REMPART, restauration 0 comments
Créé en 2006 pour sauvegarder le patrimoine le plus en danger de France, l'Observatoire du Patrimoine Religieux (OPR) s'est donné pour tâche, dans un premier temps, de faire un bilan des édifices cultuels de toutes confessions car comme le dit sa présidente, Mme de Andia, on ne peut défendre que ce que l'on connaît. Or le patrimoine religieux, surtout le patrimoine rural, est non seulement méconnu, mais encore inconnu. Preuve en est : les experts discutent encore sur le point de savoir si l'on compte 45.000 ou 100.000 édifices, ce que l'OPR est en train vérifier !
Après 18 mois de travail, les objectifs prévus ont été réalisés : fort de 700 membres, l'OPR, association loi 1901, a mis en ligne un site Internet interactif et participatif avec une base de données à même d'engranger au cours de ces prochaines années les 100.000 fiches correspondant aux 100.000 bâtiments religieux français.
Mis en ligne en juin 2008, le site de l'OPR (www.patrimoine-religieux.fr) a pour objet de promouvoir la connaissance et la mise en valeur de l'inestimable patrimoine cultuel de la France. Il a pour missions de :
Près de 28.000 édifices cultuels ont déjà été recensés dans cette base. Pour participer à l'inventaire ou recherchez un édifice, rendez-vous sur le www.patrimoine-religieux.fr
Le XIIIe marché des potiers qui s'est tenu au complexe Dominique Prévost a une fois de plus connu un grand succès.
Une des salles a abrité l'espace expo vente avec 26 artisans potiers qui exposaient au grand public leur travail de la terre. Bijoux, ustensiles de cuisine, objets de décorations, sculptures, tout est possible. Les techniques sont diverses mais le résultat est toujours unique et c'est cela qui plaît au public.
L'espace culturel sur le thème des santons de Provence… et d'ailleurs était dans une salle juste à côté. On pouvait y trouver l'Histoire des santons, un atelier de fabrication pour les enfants, différents potiers avec leurs propres techniques et des contes.
Côté santons, Cécile Guédon a un style bien à part : « Mes santons ne viennent pas de Provence mais directement du Moyen âge, de l'art Roman, ils ont une tête ronde et chaleureuse avec de grands yeux et de grandes mains. Ils sont simples et naïfs, ça change des santons traditionnels ».
Ces silhouettes trapues aux grands yeux noirs détonnent à côté des santons traditionnels exposés au château de Lavardens. D'ailleurs, Cécile Guédon ne parle pas de santons mais de personnages de crèche. Voilà sept ans que cette brunette aux grands yeux sombres exposent ses drôles de terres cuites au château. Elle vit et travaille à quelques pas de là. Dans sa boutique vivent de rares poteries, des statues naïves, un dragon, des jeux d'échecs, personnages médiévaux et santons. Un escalier mène à l'atelier, vaste pièce où s'entassent statues originales, moules en plâtre, terre, outils et statuettes à tous les stades de fabrication. Là, des paysannes sont en train de sécher; plus loin, des personnages de crèches attendent les coups de pinceaux. Des armées d'anges, rois mages, pièces d'échiquiers multicolores colonisent les étagères.
Originaire de Bayonne, Cécile Guédon a posé ses valises dans le Gers. Après un bac d'arts appliqués et un BTS d'architecte d'intérieur, la jeune femme et son mari ont émigré vers la Charente. Parce qu'elle trouvait l'architecture d'intérieur trop peu concrète, Cécile Guédon a commencé à travailler la terre. Son intérêt pour le Moyen Age est né lors d'un son et lumière. Depuis lors, la jeune femme s'est documentée, observant sculptures, enluminures, reproductions de costumes. « J'aime ce style de personnages très simples, avec des plis de vêtements très marqués mais un peu fantaisistes, ces grands yeux », explique-t-elle. Les premiers personnages ont vu le jour en 1997. Très vite, ces créatures médiévales ont eu du succès. « On ne faisait que les expositions et les gens voulaient venir nous voir mais on n'avait qu'un atelier. Alors, on a cherché un endroit où on pourrait avoir une boutique, un lieu sympa avec du passage », poursuit-elle. Ce lieu a été Lavardens. « Les jongleurs de terre » a ouvert en 1999. Dès son installation, Cécile Guédon a participé à l'exposition de santons au château. Ces petites créatures de crèche aux allures naïves ont trouvé un public.
Pour l'heure, la jeune femme ne manque pas de travail. Elle expose une crèche au salon des santonniers à Arles, participe à une exposition de crèches dans les Côtes-d'Armor, présentera des personnages à Bordeaux et au marché de Noël auscitain. Tout cela sans compter les commandes : des pots pour un vendeur de fines herbes, des personnages rappelant les Pyrénées. « En janvier, j'espère que cela sera plus calme et que je pourrai me consacrer aux pièces uniques », précise-t-elle. Voilà quatre ans qu'elle se consacre à ces grandes pièces sculptées. « J'ai déjà des idées. Il me tarde de m'y mettre ».
Source: Sèverine Ettinger La dépêche
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Pour la première conférence sur le patrimoine local, Brigitte Bascoulergue a proposé à ses auditeurs une initiation à l'art gothique.
Jeudi dernier, une dizaine de personnes est donc venue à la Maison Pour Tous de Semur-en-Auxois pour prolonger leur visite de la Collégiale Notre-Dame qui avait eu lieu cet été.
L'art gothique (dit Français ndlr) est né en France en 1137 avec la construction de la Cathédrale Saint-Denis de Paris, c'est donc plus particulièrement à l'architecture gothique que s'est intéressée Brigitte Bascoulergue pour sa conférence.
Le gothique est un art médiéval venu du puissant nord de la France qui s'est développé en même temps que les villes devenues alors des centres spirituels et culturels à la place des abbayes et monastères qui n'ont donc plus eu le monopole de la connaissance. Après l'art roman, les architectes gothiques sont parvenus à résoudre les problèmes de la poussée et de la contre-poussée dans les édifices grâce aux constructions en voûte d'ogives, aux arcs brisés ou aux arcs boutants ; les cathédrales et les églises deviennent alors de plus en plus hautes et de plus en plus lumineuses.
En même temps que l'architecture, se développent ce que l'on nomme les « arts mineurs » : orfèvrerie, sculptures, écriture, mobilier et même vêtements s'adonnent donc à cette mode « barbare » qui s'achève aux alentours de 1430.
Pendant près de deux heures, les auditeurs ont pu échanger avec leur conférencière et ainsi mieux connaître cet art médiéval et plus particulièrement la Collégiale de Semur-en-Auxois et les édifices religieux de la région.
Prochaine conférence de Brigitte Bascoulergue. - Jeudi 18 décembre à la Maison Pour Tous à 18 h 45. Thème : « les croyances populaires autour de Noël notamment».
Renseignements. - Maison Pour Tous, rue du Champ de foire. Tél. : 03 80 97 12 17, tous les après-midi et le soir du mardi au samedi. mpt.semur@wanadoo.fr
Source et photos: Le Bien Public
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01 décembre 2008
Xavier Clarcke de Dromantin, architecte des Bâtiments de France, accompagné des élus et des services techniques a effectué une visite sur le chantier de la restauration de la toiture de l'église à Benon. Les travaux sont confiés à l'entreprise Bergougnoux de Saint-Laurent et dureront un mois environ. Au programme : suppression des enduits et le rejointage des pierres, l'étanchéité par le remaniage des tuiles, la pose de feuilles de plomb sur le haut des murs et les corniches, la reprise des chéneaux, la démolition et la réhabilitation du faîtage.
Une voûte de pierre
Point de charpente, la toiture romane repose sur la voûte de pierres recouverte d'un mélange de gravats et de terre (dont l'épaisseur à l'aplomb des murs atteint 1 mètre environ) sur lequel sont posées les tuiles. Cette restauration était nécessaire au regard des infiltrations d'eau de pluie et de l'état de la couverture.
Le financement des travaux à hauteur de 20 000 euros est assuré par les subventions de la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles) 45 % ; du Conseil général 25 % et du Conseil régional 15 % ; les 20 % et les fonds propres de la municipalité 20 %.
Les Amis de Notre-Dame de Benon, depuis de nombreuses années, oeuvrent à la restauration de l'église. Les travaux intérieurs sont pratiquement achevés et ne nécessitent que de l'entretien que Denise Noguès, la présidente, assure au quotidien. Il est envisagé un système de chauffage pour les manifestations ponctuelles et pour réduire l'humidité du bâtiment surtout en période hivernale.
Un site Internet
Jean Seurin, membre de l'association, vient de mettre en ligne un site Internet qui recèle une foule d'informations, de photos, de vidéos sur l'église de Benon. On y apprend ainsi, parmi bien d'autres infos, que l'autel roman renferme un reliquaire contenant un morceau de vêtement ayant appartenu à Sainte Thérèse. Un site à visiter sans modération : http://lesamisdebenon.free.fr
Rappelons que l'église, des XIIe et XIIIe siècles, reste ouverte au public tous les jours de la semaine.
Contact et renseignements : benon33112@gmail.com ou téléphone 05 56 59 92 72.
Texte et photographies : Alain Eckert Sud Ouest
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28 novembre 2008
Nous avons rafraichi la présentation de ce blog afin de le rendre plus clair et plus facilement consultable.
Vous aurez donc un espace plus important pour la lecture des articles sur la partie droite, et des liens, classements, mots clefs par fréquence, ainsi que quelques nouveautés comme
- les derniers articles de blogs intéressants
- la possibilité de suivre ce blog, classiquement par les flux RSS ou en abonné fidèle
- la reconnaissance par mybloglog.com si vous y êtes inscrit
- et la recherche toujours accessible
Vous êtes quotidiennement plus de 100 personnes à découvrir ce blog, un peu de changement était donc nécessaire devant ce beau succès.
Tout n'est pas terminé, il reste des réglages à réaliser, n'hésitez pas à nous envoyer vos commentaires (voir la rubrique "contact" en haut ou réagir à cet article !
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13 novembre 2008
Un thème relie étroitement les villes d'Oloron Sainte-Marie, de Jaca et le village d'Uncastillo en Aragon, il s'agit de l'art roman. Ces trois sites, placés le long du chemin de pélerinage menant à Saint-Jacques de Compostelle, offrent en effet différents témoignages de cet art :
A Oloron Sainte-Marie, on peut ainsi admirer l'église Sainte-Croix ainsi que le portail de la cathédrale Sainte-Marie sculpté au XII° siècle et classé « Patrimoine de l'Humanité » par l'UNESCO en 1998,
A Jaca, le portail sculpté de la cathédrale offre un exemple de chrisme (symboles de Jésus Christ) caractéristique de la période romane.
A Uncastillo, le village aux sept paroisses, la plupart des églises sont d'origine romane mais l'une d'entre elle, Santa Maria, se distingue des autres puisque l'un des sculpteurs qui y a travaillé n'est autre que le maître du portail de Sainte-Marie d'Oloron.
C'est au vu de ce patrimoine commun que les trois communes ont décidé de travailler ensemble afin de créer un centre international concernant l'art roman mais aussi la civilisation médiévale. Chaque site souhaite offrir aux visiteurs et aux chercheurs un maximum d'informations concernant cette période. Pour cela, des partenariats se mettent en place afin qu'un lien étroit puisse favoriser les échanges de données scientifiques lors d'expositions ou de conférences mais aussi la conception de circuits de visites englobant ces trois lieux.
Le premier acte de ce centre de ressources est l’organisation des colloques « Transpyrenalia » financée dans le cadre des fonds européen Interreg et de fonds nationaux ).
Les Français en Espagne du VIII au XIII siècle
Il n’y avait pas de Pyrénées au Moyen Age ! Elles n’ont jamais été une frontière et ont toujours été franchies dans les deux sens par toutes sortes de voyageurs, de guerriers ou de marchands. Les migrations des Français vers la péninsule ibérique ne sont qu’une partie d’un plus large ensemble, mais elles constituent un phénomène historique et culturel d’une importance exceptionnelle.
L’utilisation du terme Français dans le titre du colloque vise d’abord à rendre hommage à l’historien Marcelin Desfourneaux qui a réalisé une des premières grandes synthèses sur ce thème et à éviter une ambiguïté dans les deux significations possibles du terme Franco qui désigne également au Moyen Age un homme venu du nord des Pyrénées et une personne libre.
Les Français dont il s’agit ici viennent en Espagne pour guerroyer, prier sur le tombeau de saint Jacques ou s’installer définitivement. Ce sont des féodaux comme Gaston de Béarn ou Rotrou du Perche, des ecclésiastiques qui viennent occuper des sièges épiscopaux comme Pierre de Librana transféré Huesca à Saragosse ou Guilhem de Lafitte de Sainte Christine à Pampelune. Mais ce sont aussi des hommes moins prestigieux des Gascons, des Provençaux mais aussi des gens du nord Normands ou Flamands venus avec les armées de la reconquête ou avec les pélerins . Marchands ou aventuriers, les souverains hispaniques ont su les retenir dans leurs terres en leur octroyant des privilèges et en les installant dans leurs villes ou leurs campagnes.
Pour mieux saisir cette réalité, le colloque s’organisera autour de trois axes principaux :
Le colloque se déroulera à Oloron Sainte-Marie mais une journée sera organisée à Jaca et Uncastillo pour rappeler les courants d’échanges anciens et pour illustrer la qualité des coopérations contemporaines. |
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12 novembre 2008
Les 22 et 23 novembre prochains, le CEP organise ses deuxièmes journées d’études sur le thème : actualité du patrimoine roman en Bourgogne du Sud, recherche scientifique et mise en valeur touristique. Ces deux journées seront consacrées à des conférences et des visites guidées sur le terrain.
Parmi les conférences, voici quelques thèmes:
- Le Brionnais à l'époque romane: la construction d'un paysage monumental
- La restauration des peintures murales de l'église de Suin
- Les tympans des églises romanes du Brionnais
- L'autel roman de l'église de Semur-en-Brionnais
- Le sort de deux églises romanes à la fin du XIXe siècle: Saint-Laurent et Saint-Germain
- Bilan et perspectives d'un Projet Collectif de Recherche sur les châteaux du département de Saône-&-Loire (1994 - 2004)
- Transromanica: grand itinéraire culturel européen
- Actualité des Chemins du Roman: un programme innovant et structurant en Bourgogne du sud
Télécharger les brochures
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25 octobre 2008
En 13 ans, le Salon a accueilli : 241 487 visiteurs, 3 111 exposants, 314 conférences ...
Ouvert à tous les domaines de la vie patrimoniale, alliant culture et économie, le Salon International du Patrimoine Culturel est à la fois une vitrine des métiers d'excellence, des lieux et sites patrimoniaux. Il contribue au développement économique des entreprises.
Le Salon se fait depuis 1997 « l'avocat » des grandes causes patrimoniales. L'édition 2008 aborde une fois encore des sujets forts :
Renseignements pratiques :
Le salon se tiendra du 6 au 9 novembre 2008 au Carrousel du Louvre - 99, rue de Rivoli 75001 Paris.
Tous les jours de 10h à 19h - Dimanche de 10h à 18h.
Tarifs normal : 11 Euros - Tarif réduit : 5 Euros (étudiants - Groupe de 10 personnes et plus) - Gratuit pour les - de 12 ans.
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L’art lyrique entrera dans l’église Saint-Martin, samedi 25 octobre. Un lieu idéal, avec son architecture romane du XIIe siècle et sa superbe acoustique, pour apprécier les plus grands airs d’opéra. Durant une heure, les chanteuses Claire Sacchi et Raphaëlle Raimon proposeront un pot-pourri d’airs que tout le monde a en tête, sans forcément pouvoir mettre un titre ou un compositeur dessus. Julien Le Herissier accompagnera au piano et Sylvie Krug à l’orgue. Le concert est organisé par l’Association pour la sauvegarde de l’église.
Source: Le Parisien
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24 octobre 2008
Une exposition qui se regarde et qui se touche. Le château de Suscinio, à Sarzeau, accueille une nouvelle exposition les « Ailes du serpent ».
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17 octobre 2008
Dieu, l'irreprésentable par excellence, n'a jamais cessé d'être représenté. Notamment dans le christianisme, dont c'est peut-être la singularité parmi les trois grandes religions monothéistes. Tel est le paradoxe qui sert de fil conducteur à François Boespflug, dominicain, professeur de théologie à l'université Marc Bloch de Strasbourg, qui livre dans ces pages consacrées aux images de l'"Eternel" à travers deux mille ans d'histoire le travail d'une vie. Un ouvrage magnifiquement illustré par la reproduction et le commentaire de plus de 300 oeuvres, principalement picturales. Certaines sont archi-connues, comme le Dieu planant de la chapelle Sixtine ou les trois anges, métaphores de la Trinité, dans L'Hospitalité d'Abraham d'André Roublev (1420). D'autres sont recluses à l'abri d'un cloître ou enfouies dans les pages de manuscrits enluminés, comme le recueil illustré des visions de la mystique rhénane Hildegarde de Bigen (1098-1179) avec son extraordinaire Christ de saphir environné par deux cercles de lumière et de flammes.
Ce parcours chronologique, bien balisé et brillamment mené, étudie comment, en deux mille ans d'histoire, s'est constitué un langage visuel chargé d'exprimer le divin dans l'art sacré chrétien. La "vénération" de l'image de Dieu a sans cesse cherché, tout en la frôlant, à éviter l'"adoration", toujours proscrite en référence à la condamnation de l'idolâtrie par le Décalogue. L'auteur entend ainsi se mettre au service de l'oeucuménisme et du dialogue avec les religions "iconophobes", au premier chef l'islam. Pas question ici de revendiquer une quelconque supériorité civilisationnelle ou identitaire.
Une telle entreprise est originale parce qu'elle n'a été rendue possible que très récemment. Le zèle du collectionneur, que confesse François Boespflug, s'est vu en effet puissamment secondé par la multiplication des banques de données sur Internet, qui facilitent l'accès à des milliers de reproductions. L'histoire des images permet ainsi de repérer des césures qui n'ont pas été perçues par les contemporains et ne sont devenues sensibles qu'aujourd'hui. En ce sens, nous sommes bien en présence d'un livre pionnier.
La période la plus féconde en matière d'imagerie divine va sans doute de l'époque carolingienne jusqu'au XIIe siècle. François Boespflug, qui laisse transparaître pour l'art roman une certaine prédilection, se garde bien d'en faire un moment indépassable de l'art chrétien par excellence. Un nouvel idiome pictural s'y déploie avec la multiplication des "Trônes de grâce" (la superposition de Dieu le Père et de la crucifixion) au moyen desquels les artistes chrétiens commencent timidement à illustrer le dogme trinitaire et non plus seulement la figure du Christ. Or, dit-il, seuls nos outils modernes permettent de prendre la mesure de cette révolution implicite dont le Moyen Age n'a pas conscience.
L'autre originalité tient à ce que, pour rendre compte des grandes étapes de cette "histoire iconique" de Dieu, l'analyse privilégie les dynamiques internes au christianisme. On a en effet coutume d'attribuer à des facteurs extérieurs les changements survenus dans l'art religieux : la volonté d'émancipation du monde latin par rapport à Byzance représenté par le gothique après le schisme de 1054 ; le renforcement des images dans le culte comme machine de guerre dans la concurrence avec le paganisme au cours du premier millénaire, etc.
Il est pourtant frappant de constater que c'est seulement une fois acquis le triomphe définitif sur le polythéisme que le culte des images prend vraiment son essor. Quant aux peintures figurant la Trinité, elles feront leur apparition fort longtemps après la défense, par les Pères de l'Eglise, de ce dogme central qu'on ne cesse d'opposer aux multiples hérésies ariennes ou gnostiques des premiers âges. On ne saurait expliquer non plus par l'influence de l'islam la réserve du christianisme à l'égard des images. Celle-ci a perduré, dans le protestantisme notamment, mais avait culminé avec la célèbre "crise" iconoclaste (vers 730-843 dans l'Empire byzantin).
Si cette "Histoire de l'Eternel dans l'art" ne saurait être complètement détachée des soubresauts théologiques, elle possède une dynamique autonome qui met à mal bien des lieux communs sur ce thème.
L'un des ressorts internes de ce processus est la conception typiquement chrétienne de l'Incarnation et du "Fils de l'homme", laquelle ménage un espace inédit à la visibilité de Dieu. Certes, la recherche récente a exhumé quelques traces archéologiques de figures de Yahvé, et même d'une compagne de ce dernier : la déesse Ashéra. Mais, dans l'Ancien Testament, les théophanies (manifestations de Dieu) relèvent plutôt de la parole, de la voix et de l'écoute que du regard. Dans l'islam, en dépit d'une riche tradition de miniatures persanes (dans l'espace chiite), la prohibition de toute image de Dieu, et même de celle du Prophète, est radicale, comme l'a encore montré la récente affaire des caricatures de Mahomet.
Le christianisme des deux premiers siècles sera fort peu porté sur les images, et partagera sa dévalorisation du sensible avec certaines tendances de la philosophie platonicienne. C'est d'ailleurs en philosophe et en pédagogue imberbe que l'on trouve certaines des premières peintures de Jésus dont saint Augustin soulignait déjà que personne ne savait vraiment à quoi il pouvait bien avoir ressemblé.
Entre cette réserve du début et les futures images "achéiropoiètes" reproduisant miraculeusement, et par contact, le visage du Christ (comme la Sainte Face d'Edesse ou le suaire de Turin), la relation de l'Eglise à l'image s'installe progressivement. Elle le fait dans une tension entre l'idée que l'image n'est qu'un simple renvoi à l'au-delà et une conception de l'icône comme participant de la nature divine du prototype représenté. Le pape Grégoire le Grand, en 600, tente de canaliser l'usage sacré de l'image dans des limites purement didactiques, en direction des "illettrés". Il n'y en aura pas moins tout au long des siècles des évêques savants et des théologiens "iconodules" (comme Jean Damascène, 676-749). Le résultat de ces controverses aboutit à une longue période "christomorphique" au cours de laquelle sont privilégiés les portraits du "Christ pantocrator" ou les symboles de la "majesté du Seigneur". L'art évolue ensuite, à la fin de l'époque médiévale, vers une peinture de Dieu plus narrative et plus pathétique - les crucifixions, les couronnements de la Vierge ou les déplorations.
GRAMMAIRE VISUELLE
A l'autre bout de ce parcours, le seul élément de la grammaire visuelle de Dieu qui semble survivre au climat de déchristianisation des XIXe et XXe siècles, est celle, humanisée à l'extrême, du Christ souffrant dans les tourments de l'histoire, privé des attributs de la souveraineté divine et de la rédemption. Du moins dans l'art moderne - l'ouvrage laissant à d'autres le soin d'étudier le cinéma. Ainsi Le Crucifié de Chagall se dessine au coeur d'un paysage de pogrom, revêtu du châle de prière juif.
Dieu le Père, comme la Trinité, cibles des caricatures de la presse libertaire et anticléricale à partir de la fin du XIXe siècle, ont disparu d'une scène pourtant de plus en plus accueillante aux diverses formes d'expression artistique depuis Vatican II (1962-1965). L'audace de confronter une représentation à l'"irreprésentable" même serait-elle perdue ? Cette inquiétude de croyant traverse aussi ce volume plaisant, savant et grandiose.
Dieu et ses images, une histoire de l'Eternel dans l'art de François Boespflug
Bayard, 548 p., 149 €.
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16 octobre 2008
L'exposition 2008-2010 à la Maison de l'Art Roman de Clermont-Ferrand est consacrée à la Précieuse époque romane. Elle évoque les différentes techniques utilisées pour les arts du feu, de la couleur, de l'enluminure, des tissus et du polissage des pierres fines.
Des lutrins didactiques expliquent le travail des peintres, des sculpteurs, des maître-verriers et émailleurs.
Dans la vitrine centrale, plusieurs objets précieux proviennent des collections du musée d'art Roger-Quilliot : plat de reliure en étain avec Christ en Gloire, crosse d'évêque ornée d'un ange ou bague. Un peigne lithurgique en ivoire, prêté par le musée de Souvigny les côtoie.
L'art de reliquaires est présenté à travers des reproductions de qualité des plus célèbres bustes. Un éclairage particulier est donné sur les deux rares verrières romanes de la cathédrale de Clermont. Des têtes sculptées polychromes de Marie et de Jésus, provenant de Notre-Dame-du-Port et datées du XIe siècle, constituent les pièces les plus rares de cette exposition.
Site officiel: Espace Art roman
L’exposition aborde la question de la permanence et des évolutions artistiques observées aux marges du nord de l’Europe entre le VIIe et le XIIe siècle, au temps de la christianisation. Pour la première fois depuis près de quinze ans, une grande manifestation sur l’art de cette période en Europe du Nord, nous propose de découvrir ou redécouvrir quelques-unes des pièces les plus spectaculaires des pays celtes et scandinaves.
Si l’Europe porte le nom grec d’une princesse phénicienne, c’est au Moyen Âge que s’est forgé le concept et défini l’espace géographique. Dans le cadre de la présidence française de l’Union européenne, cette exposition propose un projet fort par sa nouveauté et la richesse de son contenu.
L’expansion du christianisme au-delà des limites de l’Empire romain à partir du Ve siècle, contraint l’Eglise à prendre en compte des influences culturelles multiples. A la différence des régions christianisées, soumises à l’administration romaine, les ecclésiastiques en mission d’évangélisation dans ces nouveaux territoires ne bénéficient pas d’un soutien politique ferme. Aussi, face aux défis de la diversité des civilisations et des croyances, l’Eglise cherche à utiliser l’art comme facteur d’intégration des différences culturelles.
Loin de prétendre à une présentation exhaustive de l’art et de l’archéologie des civilisations celtes et scandinaves médiévales, il s’agit ici d’un éclairage nouveau sur la manière dont une institution devenue toute puissante en Occident, l’Eglise romaine, emploie la création artistique pour s’implanter et transmettre son message à des populations en cours de conversion. Une sélection d’environ 80 œuvres, (sculpture, orfèvrerie, enluminure) principalement venues des collections d’Irlande, Angleterre, Pays de Galles, Ecosse, Danemark, Suède et Norvège, illustrent ce propos. L’exposition se déroule dans les deux premières salles du musée. Son parcours, géographique et chronologique, est divisé en deux parties : Les Îles britanniques et la Scandinavie.
Les Iles britanniques
Christianisée très tôt, l’Irlande met ses propres ressources artistiques au service du christianisme. Quelques remarquables enluminures illustrent le rôle essentiel joué par les moines irlandais à l’origine de la diffusion des modèles esthétiques vers l’ensemble de l’espace des îles britanniques. Des œuvres galloises et écossaises témoignent de l’importance de cet héritage irlandais tout en révélant les spécificités de chacun de ces territoires. La venue en France d’œuvres écossaises prêtées par le National Museum of Scotland constitue un événement. On pourra voir ainsi des découvertes archéologiques majeures de l’Ecosse, comme les fibules de Rogart, les stèles et croix de Monifieth ou encore l’impressionnante chaîne picte de Whitecleugh. L’Evangéliaire du College of Arms ou la croix-reliquaire du Victoria and Albert Museum (Londres) confirment le rôle de l’Angleterre, plaque tournante entre le monde celte et le monde scandinave.
La Scandinavie
Loin d’être exclusivement des pirates sanguinaires, communément associés aux Vikings, les Scandinaves sont aussi un peuple de commerçants et d’explorateurs, largement ouverts sur les civilisations et les religions du monde européen, mais aussi du Proche-Orient. Ils sont très tôt en contact avec des objets caractéristiques du christianisme. Les croix sont utilisées en pendentifs de bracelets ou de colliers. Dès le début du IXe siècle, le christianisme progresse, et peu à peu, chrétiens et païens cohabitent dans une même famille. A côté des objets importés, les Scandinaves chrétiens fabriquent des objets tels que le Crucifix de Birka du musée historique de Stockholm ou la Croix d’Oro du musée national de Copenhague qui marquent l’adaptation des formes chrétiennes aux pratiques locales. Face au crucifix arboré par les chrétiens, les Scandinaves développent un signe païen d’appartenance fort, le Marteau de Thor d’Erikstrop. Les deux religions cohabitent longtemps et après l’an mil, les objets prennent des dimensions monumentales où se mêlent scènes chrétiennes et païennes tels le portail de Vegusdal de l’Université d’Oslo ou les fonts baptismaux d’Ardre du musée de Stockholm.
Commissaires
Isabelle Bardiès-Fronty, conservateur au musée de Cluny – musée national du Moyen Âge
Xavier Dectot, conservateur au musée de Cluny – musée national du Moyen Âge
Sources: rmn.fr
14 octobre 2008
Les églises romanes de la vallée de l'Ardre :
Visite commentée, ce dimanche, des églises de Marfaux, Chambrecy et Poilly. Rendez-vous à 14 h 30 à l'église de Marfaux.
Tarif : 5,5€/personne ; gratuit pour les enfants de moins de 12 ans. Tél. 03.26.59.44.44.
Source: Site web de l'union
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12 octobre 2008
Raymond Oursel compte parmi les plus grands historiens du XX° siècle. Chartiste, il dédia sa thèse aux églises romanes de l'ancien archidiaconat d'Autun, puis soutient une thèse de doctorat ès lettres. Conservateur des archives départementales de Haute-Savoie de 1949 à 1963, directeur des archives de Saône-et-Loire de 1963 à 1986, et professeur à l'Institut catholique de Lyon.
Sa femme Anne-Marie, parfois co-auteur de ses publications, est aussi connue sous le nom de Anne-Marie Oursel-Pons.
Il était l'auteur d'une bonne quarantaine d'ouvrages, dont un certain nombre de très gros volumes; sur les églises romanes, sur les pèlerinages du Moyen Âge (notamment de Compostelle), sur l'art en Saône-et-Loire, en Savoie, en Poitou et dans le Velay. L'un de ces livres, «L'art en Savoie», fut couronné par l'Académie française en 1975. Un autre, «Itinéraires romans en Bourgogne», obtint le prix Bourgogne en 1976. Beaucoup de ces volumes sont parus aux Editions Zodiaque, et ils ont été traduits en allemand, en italien et en espagnol.
Emouvantes obsèques07 octobre 2008
Situé à Mane, non loin de Forcalquier dans les Alpes de Haute Provence, le prieuré de Salagon, Musée départemental Ethnologique est classé monument historique. Ouvert à la visite toute l’année ce site occupé dès l’époque Gallo-Romaine, constitue l’un des complexes monumentaux du Moyen Age les plus remarquables de Haute Provence.
Entre Durance et Lure, dans le bassin de Forcalquier, à 500 m d’altitude, les jardins de Salagon présentent une palette riche de toute la flore du climat méditerranéen à tendance montagnarde. Au delà de la balade, c’est aussi un lieu ludique pour les enfants avec ses nombreuses animations jardins pendant les vacances scolaires.
De multiples parcours et animations sont proposés tout au long de l’année, dont en octobre une magnifique exposition photos du reillannais Jacques Cantraine, à l’honneur avec ses paysages qui déploient une belle harmonie de couleur et d’esprit.
Dimanche 23 novembre c’est la fête de la science qui s’invite à Salagon avec la projection de la " La vie en miniature dans les jardins "et la découverte à l’échelle du centimètre des petits insectes sympathiques et fragiles qui habitent nos jardins. Le monde du tout petit étonne par la variété de ses formes, la richesse de ses couleurs ou bien la singularité de ses comportements.
Salagon propose aussi un cycle de formations au jardinage pour adultes. Accessibles à tous, ces stages s’adressent à ceux qui désirent compléter leurs connaissances et leur savoir-faire en la matière. À la fois théoriques et pratiques, 4 sessions, animées par François Tessari, responsable des jardins au prieuré de Salagon, sont réparties au fil des 4 saisons : Les plantations, quoi planter en quelle saison ? Comment planter et où ? Le 22 novembre ; la taille des arbres fruitiers, fruits à noyaux, fruits à pépins, le 23 février ; créer son jardin de plantes aromatiques, condimentaires et médicinales le 26 avril ; et cultiver les roses le 28 juin.
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06 octobre 2008
La Serbie mise sur le tourisme pour développer le pays. Le gouvernement a lancé un plan d'investissement de 2,8 milliards d’euros à l'horizon 2015. La destination encore émergente a séduit en 2007, plus de 18 390 visiteurs français.
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